Un Boeing 737 s’est écrasé en Iran, tuant 170 personnes

Ce mercredi matin, un Boeing 737 de la compagnie Ukraine International Airlines s’est écrasé en Iran, peu après son décollage. L’avion reliait Téhéran à Kiev. Le Figaro cite les médias iraniens qui ont rapporté que « tous les passagers et l’équipage sont morts ». L’information aurait été confirmée par le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Au total, 170 personnes ont perdu la vie.

Les premiers éléments indiqueraient que l’avion aurait pris feu après s’être écrasé sur le territoire de la ville de Chahriar, à l’ouest de la métropole de Téhéran. Si la thèse de l’accident est mise en avant par les médias iraniens, l’international note tout de même les fortes tensions politiques entre l’Iran et les Etats-Unis, après la mort du général iranien Ghassem Soleimani, tué le 3 janvier dernier par un tir de drone américain.
En représailles, l’Iran aurait mené dans la nuit de mardi à mercredi des frappes contre des bases irakiennes abritant des forces américaines.

Dans ce contexte particulièrement tendu, l’administration fédérale américaine de l’aviation (FAA), aurait annoncé, d’après le Figaro, qu’elle a adopté « des restrictions de vol qui interdisent aux opérateurs de l’aviation civiles américaines d’opérer dans l’espace aérien au-dessus de l’Irak, de l’Iran et des eaux du Golfe persique et du Golfe d’Oman ».
De son côté, la compagnie américaine Boeing, constructeur de l’avion, semble rester sur ses gardes quant à la thèse de l’accident. « Nous sommes informés des rapports des médias iraniens et nous recueillons plus d’informations », a-t-elle déclaré sur Twitter.

[…]Et cherchez la paix de la ville où je vous ai transportés, et priez l’Éternel pour elle ; car dans sa paix sera votre paix. [Jérémie 29 v.7 - Bible]
Accident ou frappe volontaire, la disparation de ces 170 personnes reste tragique, nous partageons la douleur des familles et invitons à nouveau l’Eglise, les croyants à prier pour l’état actuel de notre monde qui se déchire, pour la paix des nations qui aujourd’hui se soulèvent au péril des citoyens, car l’Ecclésiaste nous dit bien qu’il y a un temps pour la guerre et un temps pour la paix.