Selon une étude, plus de 350 millions de personnes souffrent de la dépression

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Noyau de vie

Nous l’avons lu, nous l’avons reçu, cette bonne nouvelle d’un royaume où les malheurs de ce monde n’existeront. Rapportée jadis par notre Seigneur Jésus-Christ à nos aïeux dans la foi, elle nous révéla un lieu où le père céleste réside, où la justice, la paix et la joie y règnent en tout temps, non selon notre pensée humaine mais bien au-delà de nos idéologies, une science divine où l’amour est l’essence. Imaginaire pour certains et extraordinaire pour d’autres, parmi nos ainés dans la foi cette nouvelle a produit des miracles et des bouleversements qu’aucun d’eux n’auraient prédit. Quand bien même le désespoir avait pris place au milieu d’eux à leur époque, par les enseignements du Christ ils étaient fortifiés, par son amour ils étaient encouragés dans leur souffrance. Et aujourd’hui par le témoignage que nous avons de ces disciples, notre foi se ravive et nous avons l’espérance qu’un jour nous pourrons aussi prendre place auprès du père céleste, dans son royaume éternel.

Mais dans cette réalité que nous vivons, on peut clairement dire que notre ennemi, le diable a distrait beaucoup d’entre nous dans de vaines choses pour nous éloigner de ce qui est essentiel, c’est à dire Dieu, notre rôle et notre mission sur cette terre. Plus encore de ce que nous sommes en lui. C’est ce qui semble être la cause d’une grande défaillance pour notre humanité. La vérité est que nos regards, nos objectifs sont bien loin de ses principes et les notions que nous avons apprises de ce monde ont pris la place qui devrait être la sienne, pour que nous nous enracinions dans cet amour et cette justice qui provient de lui. Celle qui n’opprime pas, mais qui ne cherche que le bien pour tous.

Cependant les moeurs de ce monde ancrées dans notre conduite, nous ont entrainés dans un cercle vicieux propre à son sens, dans un système individualiste, de convoitise, de quête de pouvoir et bien plus, pour nous faire perdre de vue le plus important et faire nourrir en nous des sentiments impropres à ce qui était convenu au départ. Pour plus de clarté, tandis que le monde nous a formés à vivre une vie monotone, rigide et froide dans un schéma bien précis, selon ces principes nous avons été conformés à vivre pour nous, ne dépendre que de nous et ne se soucier de rien d’autre que de nous ; rien de bon pour nous qui sommes une création exceptionnelle. Et les craintes de ce monde en quête de quelque chose de nouveau pour une nouvelle ère ont enfoui certains dans un grand désespoir.

Quand les uns cherchent à se faire une place dans cette vie intraitable, d’autres peinent à se construire ; s’installe alors une problématique inquiétante étudiée dans notre société, la dépression. L’on considère que plus de 350 millions de personnes en souffrent dans le monde, et selon une étude en France les femmes seraient les plus touchées et les adolescents semblent être également victimes de ce mal-être, soit 40% d’entre eux. La ferveur des réseaux sociaux et leurs idéologies semblent être un point d’achoppement pour la plupart, car c’est particulièrement via ces plateformes sociales qu’ils seraient les plus cyber-harcelés et sujets à un état dépressif selon l’étude de l’University College London. Ils seraient 40% à passer plus de cinq heures sur les réseaux sociaux. Un temps trop important qui pourrait certainement fragiliser la perception que chacun d’entre eux aurait de la vie, pour se conformer à tout ce qu’ils y visualisent. Toutefois cette étude serait à prendre avec des pincettes, car il reste clairement à définir si d’autres facteurs ne seraient pas la cause de ces phénomènes dépressifs.

Située au 4ème rang des maladies, en terme de coût financier, la dépression également appelée maladie dépressive est un terme qui a déjà été constaté au 18ème siècle, mentionné comme un « état mental pathologique », qui précéderait très souvent cet autre phénomène qui tend à se propager, le suicide. Chaque année, en France il est estimé que 10 500 personnes souffrant de dépression meurent par suicide, ce phénomène d’une grande envergure serait plus important en France. Une problématique de plus qui ne devrait pas être négligée car encore il semblerait que cela touche notamment les personnes entre 15 et 44 ans.

Si ce phénomène semble sans solution dans ce monde qui n’a à offrir que peine et douleurs, dans l’Eglise de Christ où l’amour de Dieu déborde, il est à même de libérer toute âme en tourment qui s’incline devant le Père céleste, qui décharge de tout fardeau. Car les solutions de tous nos soucis, nos craintes et nos problèmes se trouvent en lui, il ne désire que notre bonheur. N’hésitons plus donc à répondre à cet appel de notre Seigneur Jésus-Christ : « venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » [Mathieu 11 v. 28]
Chers lecteurs, notre prière est que la paix de Christ soit notre et également votre partage en tout temps.

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Perla Kouam WAFFO

Artistes Press

Assistante de rédaction chez 🗞📰 Artistes Press - Entrepreneuse

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