Réchauffement climatique : les chercheurs prévoient un avenir sombre pour la terre

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Climat

Voici « la terre est déchirée, La terre se brise, La terre chancelle. » [Esaïe 24 v. 19] et au fil du temps, elle semble de plus en plus sombrer. Tandis que le Seigneur Jésus-Christ nous avait déjà révélé ces signes qui marqueraient les temps de la fin, de l’autre coté, les recherches et les études de plusieurs scientifiques viennent certifier certaines de ces manifestations. L’avenir de la terre serait bien plus tragique que l’on ne pense et face au réchauffement climatique, il est certain que les impacts engendreraient d’énormes désastres. D’après l’étude publiée ce lundi 19 Novembre dans la revue « Nature Climate », il est dit que d’ici la fin du siècle, la terre pourrait être ébranlée par six catastrophes climatiques simultanément.

« Les émissions de gaz à effet de serre à l’origine du changement climatique sont déjà responsables de l’augmentation de la température de la planète », rapportait le 20 minutes. Selon Erik Franklin, chercheur à l’institut de biologie marine de l’université d’Hawaï, « l’humanité va être confrontée aux impacts dévastateurs combinés d’aléas climatiques multiples qui interagissent ». Inondations, incendies, canicule, etc., ces phénomènes qui sont actuellement de plus en plus courants pourraient s’empirer.
Malheureusement que ce soient les pays pauvres ou les pays riches, personne n’en n’échappera. En effet, l’étude relève que « l’exposition cumulée et croissante à une multitude d’aléas climatiques va frapper les pays riches et pauvres de la même façon ». Si dans certaines régions sèches, des incendies pourraient se former, pluies et inondations se multiplieraient dans les zones plus humides et toujours d’après l’étude, ces troubles pourraient se déchainer en cascade. Dans l’hypothèse que les zones côtières tropicales soient les plus touchées, les zones tempérées proches des régions polaires comme la Tasmanie et/ou certaines parties du Canada et la Russie, pourraient être épargnées, ainsi que «  le Groenland qui semble être le moins touché par des aléas climatiques multiples ».

A l’heure où les chercheurs se sont appuyés sur des milliers d’études qui portent sur ces manifestations, pour envisager les impacts qu’elle pourraient avoir sur six aspects de la vie humaine ; la santé, l’alimentation, l’eau, l’économie, l’infrastructure et la sécurité, l’auteur Jonathan Patz de l’Université du Wisconsin craint que « si nous ne prenons en compte que les effets les plus directs du changement climatique, canicules ou tempêtes par exemple, inévitablement, nous serons pris de court par des menaces plus importantes qui, en se combinant, peuvent avoir un effet plus large sur la société ». La situation est plus qu’urgente voire alarmante.
Et bien sûr quand ce sujet est mis à table, beaucoup demeurent sceptiques. Il est souvent difficile pour certains d’accepter « la vérité sur ce que nous avons fait subir à la Terre ». Pire encore lorsque les experts en climat estiment que toutes nos activités sur terre sont à l’origine de ces désagréments.
Par conséquent il est de notre devoir de revoir notre manière de procéder, trouver des stratégies ou encore des méthodes pour minimiser les risques. En se rappelant du discours virulent du chef de l’ONU Antonio Guterres: « nous devons arrêter la déforestation, restaurer les forêts détériorées et changer notre manière de cultiver ». Quant à notre quotidien il faudrait également revoir « la manière de chauffer, de refroidir et d’éclairer nos bâtiments pour gaspiller moins d’énergie ».

Il n’y a rien de nouveau sous le soleil, rappelait le roi Salomon, ni rien de ce qui nous a été annoncé qui ne s’est point manifesté. La famine, les tremblements de terre, guerres, etc., que des évènements qui bouleversent sans cesse la terre, des signes qui marquent vigoureusement les temps de la fin ; un fait que l’on peut changer selon M. Guterres si nous travaillons ensemble pour faire face à cette menace existentielle. À l’église de Christ qui intercède chaque jour pour que la miséricorde de Dieu s’étende vers tous, que ce sujet qui demeure notre préoccupation puisse l’être pour elle aussi et lors de ses séances de prière face au Père céleste, qu’elle lui transmette ce problème pour qu’il accorde sa paix au milieu de nous.
Pendant que l’ONU organise une prochaine rencontre avec les chefs d’état, prions à Dieu, à qui nous devons intelligence et sagesse, pour qu’il leur inspire les actions à mener et les stratégies à mettre en place, de même s’acquitter de leurs engagements selon l’accord de Paris de 2015.

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Perla Kouam WAFFO

Artistes Press

Assistante de rédaction chez 🗞📰 Artistes Press - Entrepreneuse

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