Miracle ! Née en ne pesant que 245 grammes, la petite Saybie survit sans séquelles

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Miracle ! Née en ne pesant que 245 grammes, la petite Saybie survit sans séquelles

Science | Miracle

Publié par Artistes Press | Le Mardi 4 juin 2019

Des miracles, la Bible en regorge, et nous les compte de la Genèse à l’Apocalypse. D’Abraham à Moïse, de Daniel au ministère prodigieux de Jésus-Christ, comme des apôtres. Si certains n’y voient que pure fiction, les miracles n’ont cessé de s’opérer à travers les siècles jusqu’à nos jours. Et loin d’être des coups de chance sortis de nulle part, les miracles sont les prodiges de Dieu, opérés de ses mains et témoignant de sa gloire aux Hommes. Ils défient tout raisonnement humain et confondent les limites des sages, nous prouvant que Dieu seul a le contrôle du souffle de vie, du spirituel comme du physique. Nous prouvant qu’il est bien le Maître du Temps et de toute circonstance, et l’auteur de toute science. Être en vie et arpenter ce monde est un miracle !
« Que ses signes sont grands ! Que ses prodiges sont puissants ! Son règne est un règne éternel, et sa domination subsiste de génération en génération », s’exclama Daniel son serviteur [Cf. Daniel 4 v.3 - Bible]

Chaque vie est un miracle. Celles qui défient les probabilités encore plus. [Edward Bell, professeur de pédiatrie à l’université de l’Iowa]

En vérité, notre génération est encore témoin de la grandeur de Dieu, même si elle peine souvent à le reconnaître. Pour cause, voici un miracle extraordinaire qui s’est produit il y a cinq mois en Californie. Le monde a assisté pour la toute première fois à la naissance du plus petit bébé jamais encore né. Surnommée Saybie, cette toute petite fille vint au monde à l’hôpital Sharp Mary Birch de San Diego, par césarienne à seulement 5 mois de grossesse. Elle ne pesait que 245 grammes et mesurait 23 centimètres.
La césarienne avait été opérée d’urgence en raison d’une hypertension artérielle inquiétante de la mère, nommée pré-éclampsie, une cause majeure de mortalité maternelle. Pour les médecins, cette naissance très prématurée annonçait la mort du bébé, ces derniers avaient même dit aux parents qu’ils n’auraient qu’1h à passer avec leur fille pour lui dire adieu. Le sort de la petite Saybie était scellé par la science. Mais lorsque la science n’a plus de flèches à son arc, rendant les armes, impuissante, l’œuvre épatante et prodigieuse de Dieu s’enclenche.
« Mais cette heure est devenue deux heures, qui sont devenues une journée, qui s’est transformée en semaine », témoigne la maman de Saybie.
Qui l’aurait prédit ? Car la petite Saybie présentait un retard de croissance intra-utérin, 245 grammes ne représentant même pas la moitié du poids qu’elle devait peser à la fin du 5ème mois de grossesse.

« Je me sens bénie. C’est le plus petit bébé au monde et c’est le mien ! »

Cette prématurée extrême présentait, pour les médecins, un risque important de décès ou des séquelles sévères, notamment pour le cerveau et les poumons et comme l’explique le Pr Philippe Deruelle, gynécologue obstétricien au CHU de Strasbourg, un risque de retard moteur, sensoriel, voire une infirmité motrice cérébrale sévère, des troubles de l’apprentissage et une fragilité pulmonaire définitive. Mais par la grâce immense de Dieu, aucune de ses options n’a atteint la vie de la petite Saybie, qui après cinq mois de soins sortit de l’hôpital, pesant environ 2,3 kg et rentra avec sa maman, elle aussi, en bonne santé.
« Saybie n’a connu aucun des problèmes généralement associés aux très grands prématurés comme des hémorragies cérébrales ou des problèmes pulmonaires ou cardiaques », a communiqué l’hôpital de San Diego. Pour le Pr. Deruelle, c’est une histoire extraordinaire. Pour tout croyant en Dieu, c’est un miracle. Vivante et sans séquelles, Saybie est un prodige de la main de Dieu qui détient le souffle de tout Homme et le secret de sa conception.

Chers lecteurs, n’en doutez plus, c’est Dieu qui délivre et qui sauve, qui opère des signes et des prodiges dans les cieux et sur la terre. [Cf. Daniel 6 v.27]. Il n’y a que lui qui pouvait garantir la vie à cette petite fille quand plus aucun médecin n’y espérait. C’est aussi Dieu qui accorda à ces médecins l’intelligence pour prodiguer des soins adaptés pour Saybie. C’est pourquoi, face à un tel miracle, glorifions le Seigneur Dieu notre père et prions pour que la vie de cette petite miraculée reflète toujours plus son immense grâce, tout autour d’elle.