Jérusalem: ses patrimoines religieux qualifiés d’héritage musulman par l’UNESCO

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Jérusalem: ses patrimoines religieux qualifiés d’héritage musulman par l’UNESCO

Politique

Publié par Artistes Press | Le jeudi 25 Oct. 2018

L’Unesco contre Israël, le Judaïsme et le christianisme ? C’est bien ce que laisse croire cette organisation Internationale. Pour cause, nul n’ignore la guerre entre Israël et la Palestine. Cependant, il semblerait que l’Unesco se soit positionnée en faveur de la Palestine en validant des textes, les plus opprimants pour l’histoire d’Israël et sa légitimité historique et religieuse. Les faits se déroulent en 2016, lorsque l’UNESCO accepte une proposition de texte qui visait à redéfinir les lieux saints judaïques en lieux saints musulmans. Découlant inévitablement sur la réécriture de l’histoire juive et Israélienne, par les auteurs de cette « falsification ».

Le Figaro qualifia de meurtre symbolique, le choix de l’Unesco validant des textes dits « symboliques », pour réécrire ce qui est de l’ordre de l’histoire judéo-chrétienne, en faveur de celle de l’Islam. Pire encore, en plus de remplacer chaque lieu saint de l’histoire du judaïsme et du christianisme, les auteurs de cette proposition se sont également assurés de modifier l’histoire d’Israël, certainement pour rendre leurs écrits plus cohérents. Ces textes proposés par des États Arabes ont donc été validés par de nombreux pays dont certains de l’Union Européenne; ayant de ce fait apporté des changements dans les manuels d’histoire des pays membres, rapporta le Figaro. « C'est qu'il y a là une dimension théologique propre à l'islam dans son ensemble qui voit dans le Coran le livre originel de la révélation de sorte que les livres judéo-chrétiens ne peuvent être que sa falsification. »

Le saviez-vous ? « Dans sa résolution du 16 avril 2016, le Conseil exécutif de l'UNESCO avalise une réécriture de l'histoire. On y apprend en effet que les Juifs (et pas seulement les Israéliens) sont des intrus et des étrangers dans le Pays d'Israël, qu'ils n'ont aucun lieu saint à Jérusalem, qu'il n'y a jamais eu de Temple sur le Mont du Temple (l’«esplanade des mosquées» chère à l'A.F.P.), que le tombeau des Patriarches et le mausolée de Rachel sur la route de Bethléem sont des lieux saints musulmans, et, suprême ethnocentrisme, que le «mur des Lamentations» est un lieu saint musulman, le mur d'où la jument de Mahomet s'est «envolée» vers La Mecque… »

Comment cela est-ce possible ? En quelques mots rapportés par Simone Rodan, directrice de l’American Jewish Commitee pour la France et l’Europe et ancienne vice-présidente de SOS Darfour; cette résolution visant à réécrire l’histoire d’Israël a été proposée par la Palestine bien entendu, ainsi que l’Algérie, le Maroc, l’Égypte, la Tunisie, le Liban, le Soudan, le Sultanat d’Oman et le Qatar. Des pays dont pour certains la politique est hostile à toute croyance autre que l’Islam. Où les droits de l’Homme ne sont pas respectés ainsi que la « tradition diplomatique ». Plus offensant encore, ce texte aurait été soutenu par des nations de l’Union Européenne telles que la France, la Suède, l’Espagne, la Slovénie entre autres.

La Russie s’enregistre aussi parmi les défenseurs de cette résolution. Ce qui prête à confusion car nous connaissons la ferveur de Vladimir Poutine à l’égard de sa confession chrétienne orthodoxe, ayant maintes fois témoigné sa foi sans crainte. Seuls des pays de tradition protestante auraient été en désaccord avec cette proposition. Ainsi que des nations dont « l’identité collective et culturelle » serait encore forte, soulève un autre article du Figaro.
Cependant, elles ne sont que six nations à s’être opposées à cette proposition provocante, à savoir les Etats-Unis évidemment, mais aussi l’Allemagne, les Pays-Bas, la Lituanie, l’Estonie et le Royaume-Uni. « Ce qui vient de se passer à l'UNESCO tient du meurtre symbolique, ce qui n'est pas rien car c'est une fois qu'on a déshumanisé quelqu'un qu'on peut l'abattre en toute moralité, avec, ici, la garantie de la supposée «communauté internationale» et de l'agence chargée de prendre soin du «patrimoine de l’humanité»… », appuie le Figaro; « Quand une résolution de l'UNESCO réécrit l'histoire de Jérusalem »

Hébron, ville palestinienne au Sud de Jérusalem, devenu historiquement musulmane

« La décision de l'Unesco sur Hébron et le tombeau des Patriarches est une souillure morale. Cette organisation sans importance promeut l'HISTOIRE FAUSSE. Honte à l’Unesco »,s’est indigné Emmanuel Nahshon, porte parole du ministère des Affaires étrangères Israélien, sur Twitter.

Tout s’est joué dans la vieille ville d’Hébron située en Cisjordanie au Sud de Jérusalem, où vivent 200 000 Palestiniens. S’y trouvent également des colons Israéliens, vivant sous la protection des soldats, et ce, près d’un lieu saint appelé Tombeau des patriarches par les Juifs, et mosquée d’Ibrahim pour les musulmans. Le tombeau contiendrait les corps du père de la foi, Abraham, son fils et son petit-fils, Isaac et Jacob. Ainsi que leurs épouses, Sarah, Rebecca et Léa. Ces trois leaders de trois générations seraient également les pères fondateurs de la confession Judaïque et Islamique. Le 7 juillet 2016, le comité du patrimoine mondial valide donc la résolution des pays musulmans faisant de la vieille ville d’Hébron ainsi que la zone où vivent les colons Israéliens, « une zone d’une valeur universelle exceptionnelle », retirant ainsi toute appartenance historique Israëlienne. Un acte insoutenable pour les responsables israéliens qui dénoncent un acte « Islamique » bafouant l’histoire juive et sa présence sur le territoire depuis plus de 4000 ans.

En effet, il s’agit d’un drame culturel et historique pour Jérusalem, les Juifs mais également pour les chrétiens. Qui d’autre part, en dit long sur un avenir des plus conflictuels entre ces trois croyances monothéistes. Cependant, hormis l’aspect religieux, il faut également noter qu’il s’agirait de l’action de plusieurs nations voulant faire un pied-de-nez à la politique israélienne, jugée tyrannique à l’égard de ses voisins palestiniens. Ou simplement en désaccord avec Israël, ce qui justifie amplement la position de la Russie, en faveur de ces textes. En effet, il serait difficile d’ignorer la guerre existant entre la Russie et Israël.

Car une nation était foulée par l'autre, et une ville par l'autre, à cause que Dieu les avait troublés par toute sorte d’angoisses. [2 Chroniques 15 v.6 La Bible version Martin Bible]

Il est du devoir de chacun de savoir et suivre les tournants déterminants de l’histoire des Hommes. D’autant plus que ces faits se déroulent dans ce siècle présent, siècle où les signes de la fin des temps s’accomplissent. Où notre monde vit dans l’angoisse, sous le regard du Très Haut, qui laissa l’humanité se noyer dans des eaux troubles, car celle-ci aurait choisi de suivre et défendre les penchants de son coeur, ses traditions. Dans ce contexte, bien que ces faits datent de 2016, leur importance reste tout aussi cruciale pour l’avenir. Nous ne pouvons ignorer ou banaliser les décisions prises par les grandes organisations, qui influencent directement ou indirectement l’histoire de notre confession. Car il s’agit là de la remise en cause même des récits bibliques et de leur véracité. En cela, nous devons nous soucier à long terme de voir notre histoire, l’histoire de l’humanité réécrite sous un angle islamique, avec des héros de la foi islamique, étudiée dans le monde entier. Du moins, si cette information ne met en garde les croyants, afin que certains élus oeuvrent à ramener les âmes égarées dans des doctrines pernicieuses, vers le Dieu véritable.

Le monde s’est mis l’Eternel Dieu à dos, de telle sorte que chaque peuple s’est lui-même plongé dans des tourments, en naviguant à l’aveuglette, avec orgueil. Cherchant à faire valoir sa suprématie, sa domination, sur un peuple voisin pour s’acquérir ses terres, ses richesses et autres. Nous sommes les témoins de guerres inter-ethniques ou confessionnelles dans le monde. Toutefois, loin de nous l’idée de dénigrer l’islam. Cependant il y a certaines vérités spirituelles qui seront bien difficiles à effacer. Telle que la visite du Christ, dans la vie de millions de personnes dans le monde. Et si l’Unesco accepta cette falsification de l’Histoire pour tenter d’apaiser les tensions, entre Israël et la Palestine, elle ne demeure pas moins offensante, car ravir l’identité d’un peuple en lui privant de son histoire, s’apparente bien à un meurtre identitaire, confessionnel et du savoir, de génération en génération.

Rappelons-nous également ce verset, « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée.» [Matthieu 10 v. 34 La Bible]. En effet, la venue du Christ sur la terre vint mettre le trouble, dans la conscience des Hommes et engendra bon nombre de conflits, inter-confessionnels, guerres de religion, etc. Chacun veut s’octroyer le mérite du vrai savoir, des vraies valeurs divines et du vrai Dieu. Cependant nul ne vient au Père sans passer par Christ, dit la Bible. Ainsi chers lecteurs quelle que soit la vérité des Hommes, Christ Jésus, le messi ayant annulé toute forme de religion par sa mission de réconcilier les Hommes à leur créateur, restera la pure vérité qui transcendera les générations. Par le biais des évangélistes entre autres. Et ce, malgré le pouvoir des lois islamiques ou autres, qui viennent freiner voire stopper ou condamner leur élan à propager l’évangile, par tous les moyens possibles.