Gilets Jaunes : « Nous n'avons pas connu une telle violence depuis mai 1968 à Paris »

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Société

Alors que le mouvement devait être pacifiste selon les organisateurs, la manifestation des gilets-jaunes vient de dépasser un cran de violence ce samedi 1er décembre 2018. Casses, incendies, violences, pillages, vandalismes, et décès sont les tristes faits à déplorer depuis le début du mouvement ce mois de novembre. Face à des pertes humaines et économiques inutiles dirons-nous, le gouvernement du premier ministre ne compte baisser sa garde en faveur des réclamations du peuple en colère, car la taxe carbone restera à sa place. Hélas, le coût des réparations des dégâts de ces jours de manifestations catastrophiques, s’élève à plusieurs millions d’euros. « Je suis scandalisé que l'on vienne s'en prendre aux personnes et aux biens. Nous sommes très inquiets pour les fêtes de fin d'année. Un acte IV est inenvisageable. », déclare le président du comté George V, Remy Makinadjian. Un comité qui rassemblerait une partie des établissements du prestigieux « Triangle d’Or », dont certains des magasins furent pillés, rapporte le Figaro.

Nous n'avons pas connu une telle violence depuis mai 1968 à Paris.

136 000, c’est le nombre de manifestants mobilisés dans toute la France, informa le ministre de l’Intérieur. Il y eut au total 263 blessés, dont 81 sont des forces de l’ordre. Dans ce relevé, la ville de Paris enregistre le nombre de 133 blessés dont 23 sont des policiers, rapporte le Figaro. Les autorités arrêtèrent 682 personnes dans toute la France, et mirent en garde-à-vue 630 d’entre eux. Parmi ces interpellés, le nombre de manifestants parisiens s’élève à 412 arrestations dont 378 placés en garde-à-vue. Parmi eux, 33 mineurs. Quand la maire de Paris s’indigne et déclare que « Nous n'avons pas connu une telle violence depuis mai 1968 à Paris », après une réunion de crise avec les maires de chaque arrondissement ce dimanche 2 décembre; le préfet de police Michel Delpuech parle d’« Un niveau jamais atteint dans les dernières décennies » et une « violence extrême et inédite ». Ce lundi 3 décembre, environ quinze magistrats seront convoqués pour les cas des 378 gardes à vue.

Paris est aux allures de champs de bataille.

En effet, si certains gilets jaunes s’offusquaient de la tournure dévastatrice de cette manifestation, d’autres a contrario avaient prémédité l’organisation d’une manifestation Guerre-civile. Une adjointe du Parti socialiste, Colombe Brossel, révéla que certains maires d’arrondissements furent prévenus que des entrées d’immeubles et de parkings servirent à cacher des armes improvisées. Barres de fer, pioches et autres pour affronter les forces de l’ordre et arracher des pavés, précise la maire du VIIIème arrondissement, Jeanne d’Hauteserre.
Les affrontements débutèrent à la place symbolique de l’Arc de Triomphe, marquée de plusieurs slogan anti-Macron, puis atteignirent plusieurs autres arrondissements. Ainsi donc, si les Ier, IIe, IVe et IXe furent le moindrement touchés, les VIIIe, XVIe et XVIIe, révèlent des scènes presque de début de guerre civile.
Avec leurs 190 départs de feu, une centaine de voitures incendiées dont des voitures de policiers brulées à l’avenue Saint Honoré; en plus des pillages de magasins de luxe sur la rue Rivoli; saccages de l’avenue Paul Doumer en seulement quelques minutes, et la dévastation de l’avenue de la Grande armée, la ville de Paris est aux allures de champs de bataille.

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La France va mal, la colère des Français se voit, s’entend et se respire. Cependant, il est une chose de dénoncer son ras-le-bol du gouvernement, et une autre de faire preuve d’animosité. Toutefois, s’il est un fait que la cause des manifestants soit juste, les faits de désolation perpétrés sur Paris et partout ailleurs, sont des plus condamnables. Et ne sont guère dans l’avantage des Français, bien au contraire. Alors que les périodes de fêtes approchent et que l’économie du Pays s’apprêtait à avoir un bond en avant, notamment par le tourisme, celle-ci prend hélas un sérieux coup et ce, à la veille des grandes festivités. Autant se le dire, c’est une nouvelle fois le peuple qui en pâtira.

Le méchant fait un gain trompeur, Mais celui qui sème la justice a un salaire véritable. [Proverbes 11 v.18 Bible]

Tout comme l’affirme ce verset, l’œuvre du méchant n’est bénéfique pour personne. De ce fait, le salaire des œuvres qui découlent des exactions des manifestants est désolant et plonge la France dans une situation pire qu’avant le mouvement. Ainsi donc, celui qui cherche à agir avec Justice se garde de bien des tourments. En d’autres termes, sous un œil évangélique, ce drame social aurait pu être évité. Du moins si les Hommes animés de bons sentiments, s’appuyaient sur des valeurs salvatrices divines qu’enseignent la Bible. Entre autres, l’amour du prochain, la quête de la justice, le respect de son frère et bien entendu, des autorités établies ; « Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. C'est pourquoi celui qui s'oppose à l'autorité résiste à l'ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes. » [Romains 13 v.1-2 Bible]. En effet, le règne du chaos n’est point le fruit de Dieu, l’instaurateur des sociétés, et auteur des valeurs qui assurent leur bon fonctionnement et leur pérennité.

Fort est de constater que le chaos s’insurge dans toutes ses formes, par toutes les fissures politiques, sociales et économiques qui soient. Cependant, il est important que l’Homme se refuse de sombrer dans le chaos. Qu’a-t-il à gagner dans ces faits ; le père ou la mère de famille qui vient de perdre sa voiture incendiée, lui assurant pourtant ses déplacements de son domicile à son lieu de travail ? Et ce commerçant dont la boutique est ravagée qui, tout comme les gilets-jaunes, souffre d’une économie pauvre, ou moyenne, et s’interroge sur son avenir professionnel et celle de ses proches et descendants ? Ainsi donc, la preuve qui sous-entend que s’adonner au mal permet de mieux se faire entendre n’est pas tout à fait juste. Ce procédé n’est manifestement pas la voie à suivre, d’autant plus qu’il ne crée que dommages, désolations, et situations incontrôlées entrainant le pire telles que ces trois pertes humaines au cours des manifestations.

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Si ce mouvement national devenu international est tout à fait légitime, comme le souligna le Président Emmanuel Macron saluant au passage la ténacité des forces de l’ordre, la destruction qui abonda des œuvres de certains gilets-jaunes est, à dénoncer. Ces faits de violence s’avèrent être surdimensionnés par rapport à la problématique de la taxe carbone, s’offusquent les citoyens, qui par ailleurs, s’interrogent vivement sur le coût des réparations qui seront très certainement repartis sur leur compte. Alors que nombreux n’arrivent à peine à s’en sortir financièrement, se battent pour sortir la tête hors de l’eau, et appréhendent l’augmentation de l’électricité, annoncée pour janvier 2019.

Pour conclure, si notre gouvernement ne veut céder aux plaintes du peuple, et que nos leaders faits de chair et de sang n’ont pu trouver une solution pour un meilleur débouché, Dieu s’avère être l’alternative incontournable et unique. En effet, qui peut donc faire sortir le peuple du chaos ? L’Éternel Dieu, qui de par nature est un Dieu d’ordre, de justice, instaurant la paix et le bonheur pour tous les Hommes qui cherchent son règne. Chers internautes sachons-le, quand l’Homme ne trouve de solution autre que dans la violence, l’Éternel Dieu propose à sa créature une tout autre alternative. Celle de suivre ses ordonnances, afin d’être inspiré pour trouver une solution qui profite à tous. Mieux encore, par la prière des croyants soutenus par la bonne volonté de ceux qui œuvrent pour le bien, nous pouvons croire qu’il se déploiera dans toute sa gloire, son amour dans notre société. Afin de rétablir sa prospérité et ses valeurs pour le bien-être du pays et ces citoyens. Et que tous sachent qu’il n’y a aucune situation politique ou gouvernementale, même celle apparaissant comme sans issue, qui n’ait de solution favorable, si nous levons les yeux vers le ciel.

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Wissa KOLOLO

Artistes Press

Journaliste, 🎶 Chantre, Auteur, Maquilleuse, Styliste/Modéliste & Couturière, Conseillère en Image👗📸 ~ Entrepreneuse

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