France: La jeunesse accro aux vices en tous genres, des enquêtes sonnent l’alarme !

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Société

Notre monde va mal ! L’indicateur qui le prouve est… notre jeunesse. Tant ses dérives deviennent un sujet d’inquiétude sans précédent. En effet, se relègue dans nos médias une étude des plus alarmantes concernant les addictions et consommations illicites hautement prisées par les jeunes gens. Une étude qui relève de l’état de détresse morale et sociologique, dans laquelle baigne toute une génération.

La jeunesse Française, plus grande consommatrice de drogue dans toute l’Europe

« L'enquête confirme l'importance de la consommation de produits licites et illicites, mais l'augmentation de la consommation des drogues festives (ecstasy, cocaïne...) qui apparaît d'un peu plus du double que dans les enquêtes habituelles, suscite une inquiétude particulière », d’après Michel Reynaud, président du Fond Action Addiction, un des initiateurs à l’origine de l’étude sur l’addiction des jeunes Français. Une inquiétude également partagée par la Fondation pour l’innovation politique et la Fondation Gabriel-Péri. Les trois organismes sonnent l’alarme face à la voie désastreuse empruntée par les jeunes gens. Car se trouve sur la sellette, leur état psychologique, voire leur avenir social. Pour cause, l’enquête révèle qu’un jeune sur cinq, à partir de 14 ans, s’adonne au visionnage de vidéos pornographiques à un rythme régulier, d’une fois par semaine à plusieurs fois par jour. Empoisonnant ainsi leur rapport et leur regard sur la sexualité.

Mais encore, plus d’un jeune sur dix, soit 13% entre 14 et 24 ans, est adepte des jeux d’argent, et y joue une fois par semaine. Les excès s’accentuent, de nombreux jeunes passent près de 10 heures devant un écran. En commençant par les jeux vidéos, 16% des jeunes y consacrent cinq heures de temps, 7% environ huit heures et au-delà. Il est également précisé qu’un quart entre 18 et 22 ans, dépasse les cinq heures par jour sur leurs réseaux sociaux.
Les plus susceptibles d’être entrainés par les addictions sont les jeunes obèses et ceux des milieux défavorisés. Ce constat résulte d’une précédente enquête de six jours, réalisée entre fin mars et début avril 2018 par Ipsos.

Un rapport de l’an dernier, rapporte que le Cannabis serait la plus consommée des drogues sur tout le continent. Devant la cocaïne, la MDMA dérivé de l’ecstasy, et l’amphétamine, rapporte le Figaro. Pire encore, quelle que soit la drogue, la consommation des jeunes Français s’avèrerait toujours supérieure à la moyenne Européenne. « 31% des jeunes Français ont déclaré avoir déjà consommé du cannabis, soit presque deux fois plus que la moyenne européenne (18%) ».
Un rapport tristement alarmant car de cette forte consommation, s’accroît également le taux de décès. 81% serait le taux de mort engendré par la consommation d’opiacés.

La France et le cannabis, une opposition de façade bien contrôlée ?

Fort probablement. En effet, plusieurs nations dans le monde ont décidé d’autoriser le cannabis dans un but thérapeutique. Tels que le Canada, Israel, l’Afrique du Sud, et la Californie qui d’ailleurs vient finalement de légaliser l’herbe verte dite le nouvel Or. Oui chers lecteurs, l’herbe verte est en passe de devenir le nouvel Or de plusieurs nations. Pour cause, si de nombreux pays dans le monde tels que la France, maintiennent une interdiction totale, les nations qui a contrario ont autorisé sa vente et sa consommation, ont vu leur Produit Intérieur Brut augmenté.
Les raisons sont simples. Le trafic de drogue est un véritable business juteux. Un business que les politiques décident au compte-goutte de ne plus ignorer. Rien qu’en France, on estime à 3,1 milliards d’euros le poids de la consommation de drogue.

Mais demeure un grand paradoxe. Quand la France se refuse à la consommation du cannabis, thérapeutique ou non; la feuille verte elle, se trouve toujours plus d’acheteurs sur le territoire. Ce qui mène à penser qu’il existe sans doute une magouille souterraine entre les politiques et les leaders des réseaux de vente surpuissants. Car disons-le, ce business occulte pèse favorablement sur l’économie du pays.
Un milliard serait le chiffre pharamineux que rapporte la vente seule du Cannabis. Contre huit cents millions pour la cocaïne. Ainsi, certains pays ont décidé de comptabiliser et intégrer le trafic de drogue pour « gonfler » leur Produit Intérieur Brut (PIB). De même pour la prostitution et la vente d’armes, en plus du trafic de drogue pour l’Espagne. Haussant de ce fait son PIB de 3.7% en 2014, selon un journal local du pays. En France, c’est en janvier 2018 que l’Insee inclut le trafic de drogue dans le calcul du PIB. Suite aux relances faites depuis 2013 par l’Institut Européen de Statistique. Que dire chers lecteurs, avons-nous atteint le summum de l’immoralité à tel point que nos pays en deviennent dépendants? Ou est-ce là le fruit de l’inactivité de l’Eglise ?

La responsabilité de l’Eglise du Christ dans la hausse des dépendances en France

sLa consommation de drogue n’est-elle pas l’indicateur des dérives d’une société en manque de bien-être, en quête de repos, de rêveries ? Les organismes militent pour que des mesures concrètes soient prises pour la protection des mineurs et des jeunes en général. Pourtant chers lecteurs, ces mêmes enquêtes assurent que notre jeunesse est en connaissance des dangers liés aux addictions d’alcool, de drogue et de sexe, mais en vain. À l’évidence, le remède à la dépendance ne se jouerait probablement plus sur le nombre de messages d’avertissements ou campagnes de sensibilisation. L’Eglise du Christ devrait alors faire une entrée fracassante et maitrisée. Non sous sa traditionnelle forme moralisatrice. Mais plutôt sous celle qui est peu manifeste, sa forme libératrice. Peu manifeste chers lecteurs car l’Eglise peine à faire éclore la vie vivifiante de Christ-Jésus dans notre société. Ou alors, se refuse de sortir de son confort pour se conformer aux normes de notre société. Une conduite loin de l’image, du charisme, de l’allure et du message du Christ qu’elle assure défendre.

Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. [Marc 2 v.17 / Luc 5 v.31-32 La Bible]

La Bible l’assure, Christ l’oint ressuscité d’entre les morts est le remède contre tous maux des Hommes. Maladies, addictions, handicaps, envies suicidaires et bien d’autres; aucun de ces fruits du mal ne résistent au pouvoir du Christ et de sa parole vivante. Car chers lecteurs, c’est la raison même de sa venue sur la terre. Il est venu pour libérer les âmes captives de toutes formes de prisons; psychiques, morales, physiques, spirituelles, mentales. Son esprit agissant en l’Homme [jean 14 v.26 La Bible], rendra la liberté à ceux qui désirent être affranchis des chaînes de leurs pensées négatives. Et du désastre des addictions qui apportent l’illusion d’une joie ou d’une satisfaction éphémère et instantanée. Ces maladies de l’âme qui conduisent toute une génération, plus encore, une société, à sa mort progressive et certaine. C’est à l’Eglise de se lever, intercéder, afin que le consolateur, et le restaurateur des âmes influent sur la jeunesse de notre pays. Sans quoi notre génération prochaine, nos descendants sont d’ores et déjà condamnés.

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Wissa KOLOLO

Artistes Press

Journaliste, 🎶 Chantre, Auteur, Maquilleuse, Styliste/Modéliste & Couturière, Conseillère en Image👗📸 ~ Entrepreneuse

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