La Chine compte bien mettre à ses pieds l’Amérique et la Russie. En effet, alors que ces deux grands continents se battaient pour conquérir la Lune, la Chine rattrape la course en opérant un exploit en ce début d’année 2019. Celui d’avoir réussi à poser un module d’exploration sur la face cachée de la Lune. Envoyé le 7 décembre 2018, l’appareil s’est posé sur la deuxième facette de la lune, entre la nuit du mercredi 2 janvier au jeudi 3 janvier 2019. Une opération que la Chine préparait depuis bien des années et se félicite de son succès. De par la prouesse technologique que nécessita cette exploration lunaire. En effet, la lune ne tournant pas sur elle-même comme notre globe terrestre, possède alors une face visible de la terre et une autre tournée vers l’univers. La face visible est recouverte d’une « mer basaltique ». Cette couche de basalte serait de la lave de volcan séchée formant à son refroidissement des roches magmatiques. Sa seconde face non visible, jamais encore explorée serait pleine de cratères. Le but de cette exploration serait donc de découvrir les raisons d’une telle différence entre les deux faces, rapporte le Figaro.
En effet, l’appareil spatial chinois nommé Change’4 a été envoyé sur une zone des plus complexes de cette face non visible, appelée le Bassin Pôle Sud-Aitkenun. Il s’agit d’un énorme cratère dû au plus grand impact connu du système solaire, qui mesure un tiers du diamètre de la Lune. Ce cratère des plus anciens possède également plusieurs impacts sur sa surface. Pour permettre le déplacement sur la surface, le module serait doté d’un robot motorisé, son véhicule d’exploration spatial. Il ne s’agit pas de la première tentative d’exploration lunaire qu’ait effectué la Chine. En 2013, le pays aurait envoyé Change’3, si l’appareil a tenu 31 mois, son véhicule d’exploration spatial n’aurait vécu que six semaines. Il n’aurait pas supporté les températures allant d’un extrême à un autre, qui variaient entre -170°C pendant la période de la nuit lunaire durant 14 jours terrestres, et 130°C pendant la période de journée durant également 14 jours terrestres.
Pour arriver à ses fins, la Chine envoya en mai 2018, un satellite baptisé Queqiao (le pont des pies), en vue de cette prouesse à venir, permettant à Change’4 d’échanger des données et relayer des ordres de la terre, rapporte le Figaro. Une capture de cette face cachée de la Lune a d’ailleurs été prise par le module et circule dans nos médias. Le pays en effet, débourse des milliards à la conquête de l’espace, et espère d’ailleurs envoyer un Homme sur la Lune, et un robot sur Mars. Mais plus encore, Pékin aurait présenté en novembre 2018, une réplique de sa première grande station spatiale internationale appelée Palais céleste, fonctionnelle courant 2022. En vue de remplacer l’actuelle grande station spatiale regroupant la Russie, les États-Unis, l’Europe, le Canada et le Japon, qui fermera ses portes en 2024.
Car c'est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. [Philippiens 2 v.13 Bible]
Nous pouvons lire dans cette actualité les grandes prouesses des Hommes dont l’intelligence ne cesse de s’accroître dans ces temps de la fin. Cependant, au regard de l’Evangile, ces prouesses scientifiques ne sont que par la volonté de l’Éternel Dieu. En effet, Dieu donne l’intelligence aux intelligents et augmente la science de celui qui le désire. Il permet aux Hommes d’accomplir de telles prouesses scientifiques et technologiques car leur soif de pouvoir et de connaissance les pousse à découvrir la perfection de Dieu, manifeste dans sa création. Ainsi que la grande complexité de sa conception bien que de nombreuses questions concernant l’univers et les astres restent en suspens. De ce fait, par cette première exploration, l’Homme découvre l’étendue du chef d’œuvre de Dieu s’étalant sur tout l’univers et au-delà de la raison humaine.
Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. [Genèse 1 v.16-18 Bible]
Il n’est plus à prouver que le corps scientifique semble s’accorder sur le fait qu’il existe bien une intelligence extrêmement supérieure, à l’origine de tout. Cette origine qui permit la création de cette masse qui explosa créant ce que l’Homme appelle un Big Bang. Où des multitudes de terres s’éparpillèrent, se fixèrent sur un film d’anneau planétaire. Parmi elles, seule notre terre s’avère être habitable grâce au positionnement de la lune et du soleil sur son orbite, pouvant ainsi accueillir la vie. Alors que beaucoup se convainquent qu’il ne s’agit que du fruit du hasard, cet agencement de terre et d’étoiles paraît un peu trop bien réfléchi pour qu’il soit le simple fruit de circonstances soudaines. D’autant plus que certains scientifiques réussirent à trouver l'infinité ou l’infinitude de Dieu en cherchant par des voies mathématiques, l’origine de toutes choses.
Mais nous pouvons aussi constater que l’Homme voit ses limites humaines être un frein à sa volonté de connaître, de conquérir, d’acquérir de la connaissance. Il faut donc croire que Dieu fit tout ceci pour que l’Homme ne s’enfle pas d’orgueil, mais reconnaisse la nécessité de Dieu, pour acquérir une grande connaissance et des révélations qui dépassent les frontières de la conscience humaine. Cependant, si l’Homme se borne à croire être capable de tout sans Dieu, l’Éternel Dieu dans sa grande bonté le ramène vers lui par ses propres découvertes scientifiques.
Cet exploit spatial accompli par la Chine est à féliciter. Bien entendu, nous espérons que par cette action qui était encore de l’ordre de la fiction, bon nombre méditeront sur ces créations célestes pour entrevoir un autre regard sur la nature créée par Dieu que celle que l’éducation des Hommes instaura dans les livres d’enseignement scolaire. Car, s’il se laisse trouver par celui qui le cherche, il donne aussi la possibilité à l’Homme de découvrir son univers, afin que celui-ci se rapproche de son créateur, en contemplant la beauté de son art.
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