Des archéologues découvrent une bague en Israël appartenant à Ponce Pilate

news-details
Science

Cette découverte est selon le Figaro, une preuve venant une nouvelle fois attester la véracité des écritures évangéliques. Une bague à sceau, c’est-à-dire une bague permettant de cacheter lettres et documents a été identifiée comme appartenant à Ponce Pilate. Ce préfet qui fut envoyé à Rome pour prendre la tête de la Judée entre 26 et 36 après J-C. Et qui rendit son nom tristement célèbre car c’est à lui que l’on doit la validation de la condamnation à mort du Christ.
« Pilate était un nom très rare dans la Palestine du Ier siècle, explique le professeur Dany Schwarz. Je n'ai pas connaissance d'un autre Pilate de la même période. Le lien avec Ponce Pilate est évident.», confirme le directeur des fouilles de l’Hérodion nommé Roi Polat, au Times d’Israël.

La petite histoire archéologique remonterait en 1969, lorsqu’un archéologue Israélien découvrit la fameuse bague en Cisjordanie. Sur la colline où demeure la dépouille du Roi Hérode le grand, sur le site de l’Hérodion. En effet, grâce aux avancées technologiques, le bijou historique délivra ses secrets. Après nettoyage de la bague, les archéologues et épigraphistes réussirent grâce à un appareil photographique à très haute résolution, à capturer des inscriptions ressemblant à un cratère, suivi d’un récipient pour le vin ainsi que des lettres grecques inscrivant sur le côté le nom de Pilate. La bague a donc une grande valeur historique à ce jour par l’authentification de son appartenance à Ponce Pilate, car il n’existait qu’une seule inscription de ce nom découverte sur un théâtre de Césarée-Maritime, bâti à la gloire de l’empereur Tibère, jusqu’alors.

news-details

Cependant au temps du préfet, elle aurait été de très moindre importance. Pour cause, après une observation aiguë du bijou, il ressemblerait à ce qu’un soldat de ce temps ou une personne appartenant à la classe moyenne porterait, ou un dignitaire de bas rang possèderait, rapporte le Figaro. Ou alors, il ne s’agirait là que d’un bijou de famille.
Ce qui leur permit d’aboutir à cette conclusion sont les caractéristiques de cette bague dont la facture ainsi que la gravure du récipient ne seraient pas « très raffinées ». De ce fait, Roi Polat suppose alors qu’elle a certainement été sur la main de Ponce Pilate les jours sans cérémonie officielle, ou portée par un employé administratif ayant pour fonction de marquer les sceaux à sa place. Mais encore, il apporte l’hypothèse qu’un membre proche de la famille ou encore un esclave affranchi l’avait au doigt.

 … il a voulu qu'ils cherchassent le Seigneur, et qu'ils s'efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien qu'il ne soit pas loin de chacun de nous. [Actes 17 v.27 Bible]

Il est fort probable que le monde regorge de trésors élucidant et attestant les récits bibliques, car la terre semble très loin d’avoir délivré tous ses secrets. De par des siècles d’histoire qui défilèrent et marquèrent la création de Dieu et son cosmos. Ainsi donc, si les Hommes ne sont convaincus de l’histoire du Christ et de la véracité de son témoignage, la nature, elle se charge de les leur rappeler. Poussant l’Homme voulant demeurer incrédule au tâtonnement. Car si l’Homme se refuse à croire en la véracité du Christ et de sa divinité, c’est bien par la décision de Ponce Pilate que le plan de Dieu pour l’humanité s’opéra et transforma la vie de millions d’âmes génération après génération.

Pour conclure, rappelons-nous des pensées du « pari de Pascal », rédigé par ce grand théologien, scientifique et philosophe Blaise Pascal. Le mathématicien exprima par ces écrits le pari des Hommes ayant fait le choix de croire ou non en Dieu. En développant les risques et les pertes entre un Homme croyant et athée sous la forme d’une stratégie de jeu de gain. Une citation vient résumer ses réflexions en ces termes; « Pesons le gain et la perte en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagnez donc qu’il est, sans hésiter »
Ainsi chers lecteurs, si la terre s’empresse de rétablir certaines vérités historiques, accordez-vous le doute raisonnable de croire que Dieu existe. De peur de passer à côté de notre réelle existence et de vivre dans la mort éternelle. Car selon la parole de Dieu, « Dieu parle cependant, tantôt d'une manière, Tantôt d'une autre, et l'on n'y prend point garde. » [Job 33 v.14 Bible]

Aimez notre page Facebook
author

Wissa KOLOLO

Artistes Press

Journaliste, 🎶 Chantre, Auteur, Maquilleuse, Styliste/Modéliste & Couturière, Conseillère en Image👗📸 ~ Entrepreneuse

Partagés récemment

Ajouter un commentaire