Depuis le 1er août 2018, «  jour de dépassement », l’humanité vit au-delà de ses ressources !

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Science

Le jour du dépassement ! Non chers lecteurs, il ne s’agit pas du nom d’un grand film mais du jour où les ressources de la terre ne suffisent déjà plus à l’humanité. Ce jour, nous venons de le dépasser le mercredi 1er août 2018. Chaque année, est calculé le jour où la terre vit à crédit. Malheureusement les dates du début de l’épuisement de nos ressources sont de plus en plus précoces. L’an dernier par exemple, la date était fixée au 2 aout 2017, nous rapporte le Figaro.

Qu’est-ce que le jour du dépassement ou le Overshoot day ? Pour comprendre ce phénomène, imaginez-vous qu’en huit mois seulement, l’humanité, soit les 7,6 milliards d’Hommes, a consommé toutes les ressources naturelles renouvelables que la terre produit en un an. Cette date franchie, l’humanité puise dans les ressources de la terre. Nous pêchons toujours plus de poissons, alors que leur reproduction peine à renflouer nos mers. Nous arrachons toujours plus d’arbres mais n’en plantons pas assez… Et la quantité de dioxyde de carbone a atteint son apogée, faute d’être absorbé par nos forêts toujours plus déforestées. En d’autres termes, l’humanité surexploite son écosystème et entraine ainsi son incapacité à se régénérer.

Auparavant, la Terre était capable de répondre aux besoins de l'humanité: les écosystèmes arrivaient à absorber les émissions de dioxyde de carbone produites pour les besoins de l'homme, les terres agricoles étaient suffisantes pour répondre à la demande planétaire en nourriture - ce qui n'empêchait pas la survenue de famines -, les cultures de coton et la production d'autres textiles étaient suffisantes pour être régénérées en une année. Bref, la planète était à l’équilibre.

Comment est calculé ce jour fatidique du dépassement ? Le Monde rapporte que depuis 1986, ce calcule est assuré par l’ONG Global Footprint Network. Celle-ci se base sur deux indicateurs. L’empreinte écologique premièrement ; c’est-à-dire, les surfaces productibles de la terre disponibles pour assurer les besoins de l’humanité en culture, bétail, poissons, bois, et espace pour le développement urbain. Le deuxième indicateur est la bio-capacité de la terre à régénérer ses ressources, la capacité des forêts à absorber les émissions de dioxyde de carbone. De ce fait, la différence qui existe entre l’empreinte écologique et la bio-capacité de la terre, définit la date de dépassement.

Les causes sont bien évidemment l’accroissement de la population terrienne, nécessitant la production d’énergie. Mais encore, le développement des industrialisations tels que l’agro-alimentaire, les technologies et bien d’autres qui répondent certes aux besoins de notre société de consommation, mais tuent notre terre à petit feu. De ce fait, pour que l’humanité puisse vivre convenablement, il lui faudrait l’équivalent de 1,7 d’une autre planète-terre pour subvenir aux besoins des Hommes pendant un an, contre 2 planètes en 2030. Pire encore, en fonction des pays, l’empreinte écologique n’est pas la même. Ce qui démontre d’ailleurs quels sont les pays les plus consommateurs et créateurs de déchets toxiques.
En effet, selon les recherches de l’ONG, nous aurions besoin de 5 planètes pour vivre, si l’humanité entière aurait vécu comme les Américains. Pour un mode de vie Français, 2.8 planètes seraient suffisantes.

C'est la première fois que l'on fait cet exercice pour la France, afin de montrer l'insoutenabilité de notre modèle de développement.

La France également a franchi son jour de dépassement ce 5 mai 2018. Ce constat effectué par la même organisation qui se lança dans les calculs par pays, fut relayé par Pascal Canfin, directeur de la première organisation mondiale de protection de l’environnement, WWF-France. Son intérêt : peser sur l’opinion publique et les débats actuels sur tout ce qui concerne notre écologie. Pour influencer les décisions politiques, afin de faire reculer la date du dépassement. La dette écologique étant conséquente, l’organisation compte bien se faire entendre sur les projets de loi de l’alimentation et de la mobilité et la programmation pluriannuelle de l’énergie. Des projets de loi étudiés cet été même, rapporte Le Figaro.

Seulement, voici ce que j'ai trouvé, c'est que Dieu a fait les hommes droits; mais ils ont cherché beaucoup de détours. [Ecclésiaste 7 v.29 La Bible]

À qui doit-on cette situation catastrophique de notre monde, si ce n’est à l’Homme lui-même? Dieu à l’origine, confia à l’Homme sa créature semblable à son image, la responsabilité de l’entretien de la terre, des espèces, et de leur développement. 21 siècles après J.C, la situation du monde est à son déclin. D’ailleurs, le Christ prévint dans sa parole que le monde finira ses heures dans d’atroces souffrances. Pour la simple et bonne raison que l’Homme fit le choix de vivre, sans connaître la volonté de son créateur. Mais chercha mille et une façons d’assouvir ses besoins charnels et égoïstes. Se laissant séduire par le mal et l’avidité de son cœur, l’Homme devint tout naturellement la proie des ambitions destructrices du malin, pour nous conduire dans notre propre autodestruction. En effet, si le cœur des Hommes n’est animé par la bienveillance de Dieu, c’est le mal qui se chargera de nos âmes.

De ce fait, en nous attelant à détruire la terre sur laquelle nous vivons, nous offensons certainement Dieu, l’auteur du projet de la création de l’univers et de l’humanité. Pire encore, nous instaurons par nos propres mains un climat de chaos. Condamnons notre avenir et réduisons notre espérance de vie. La vie vient de Dieu, lui qui l’insuffla dans tout notre environnement, du bétail aux fleurs des champs, et aux particules des matériaux utilisés pour la création des bâtisses et objets du quotidien. La vie de Dieu réside dans tout ce que nous pouvons voir de nos yeux, et au-delà. Ainsi, il serait très difficile à l’Homme de vivre dans un bonheur parfait, de rétablir cette qualité de vie qui était favorable à notre planète sans Dieu. Dieu étant la science parfaite incarnée.

Mais en réalité, dans l'homme, c'est l'esprit, Le souffle du Tout-Puissant, qui donne l’intelligence. [Job 32 v.8 La Bible]

Ainsi chers lecteurs, nous reviendrons toujours à parler de Dieu dans tous les sujets concernant notre monde et l’univers. Sans l’intelligence de Dieu, l’homme manifestement s’oriente vers des choix qui causent sa propre perte. Car les pensées de Dieu ne sont pas nos pensées. Songeons à ce qu’il adviendrait si nous aurions un tant soit peu cherché à connaître les pensées de Dieu pour l’Homme ; notre terre serait-elle à ce jour à l’agonie? Le cœur des Hommes serait très certainement tourné vers la quête de Dieu et de sa volonté bienfaitrice pour notre société.
Dans ce contexte, il faut croire que notre société reflète bien l’état de notre âme. C’est-à-dire, une âme toujours aussi assoiffée d’assouvir ses besoins, guider par un égoïsme ahurissant. Nos industries le témoignent, nous sommes à la merci de leur code de consommation pour leur quête du profit. Nous achetons, consommons, produisons en masse, et à une grande vitesse, puis détruisons même les surplus non-utilisés des productions, à la même allure.

Malheureusement l’Homme demeure dans cette prison dont il a lui-même conçu les murs.
Il est grand temps que le Dieu tout-puissant intervienne dans notre mode de vie. Nous avons besoin de revoir les normes et les codes de notre société, notre système de développement selon sa vision, qui à l’origine, fut parfaite pour l’Homme. Pour conclure chers lecteurs, prions que nos gouvernements soient inspirés par Dieu et acquièrent son intelligence, afin que tous leurs projets et lois à venir, soient dans l’intérêt de vivre convenablement sur cette terre que Dieu créa et modela pourtant pour notre bonheur.

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Wissa KOLOLO

Artistes Press

Journaliste, 🎶 Chantre, Auteur, Maquilleuse, Styliste/Modéliste & Couturière, Conseillère en Image👗📸 ~ Entrepreneuse

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