Cancer : près de 400 000 nouveaux cas en 30 ans

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Santé

« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père plein de tendresse, le Dieu de qui vient tout réconfort. Dans toutes nos détresses, il nous réconforte ; ainsi, nous pouvons réconforter tous ceux qui sont dans la détresse, grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu » [2 Corinthien 1 v 3-4]
Tel est le message que le Seigneur nous partage dans son amour afin que nous ne puissions pas tomber dans le désespoir. Chaque jour de part et autre nous parviennent des nouvelles déstabilisantes, tristes et accablantes au sujet des actualités diverses dans les médias, provenant et concernant nos proches, voire des nouvelles qui nous concernent directement, situation financière, résultats médicaux, etc.
Mais le Seigneur dans sa grande miséricorde, nous a laissé à travers les anciennes écritures bon nombre de messages réconfortants, d’espoir renouvelant notre foi intérieure et cette ferme assurance que rien ne nous submergera quelle que puisse être l’adversité que nous traversons, où traverserons demain. Il a déjà tout anticipé, à nous maintenant de prendre ce temps de nourrir notre esprit et d’en être pleinement fortifié.

Nul n’est ignorant des maladies qui ravagent notre siècle à travers le monde, telles que l’Ebola, le VIH, la tuberculose, les virus grippaux, les hépatites ainsi que le cancer, etc. Qui infectent et tuent par milliers notre population mondiale et qui ne cessent de faire de nouvelles victimes chaque jour.
Aujourd’hui, un nouveau rapport national fait état d’une importante progression du cancer en France, démontrant que depuis 1990, 45% de nouveaux cas serait à déplorer chez la femme et 6% chez l’homme. Au total, 382 000 nouveaux de cas de cancers de tous types ont été dénombrés en 2018, 204 600 cas chez l’homme et 177 440 chez la femme nous rapportent Santé Publique France et l’Institut national du cancer (INCA), liés au réseau des registres de cancer (Francim) ainsi que les Hospices civils de Lyon, rapporte Le Monde. Précisons également que ces résultats font abstraction de l’augmentation de la population ainsi que de son vieillissement.
Chez la femme : en 2018, plus de 50 000 cas du cancer du sein soit une augmentation de 1,1%, dans le cadre du cancer du poumon, une hausse importante de 5,3% soit plus de 15 000 nouveaux cas, ensuite plus de 8 000 nouveaux cas en ce qui concerne le cancer de la thyroïde soit 4,4% entre 1990 et 2018, sans compter les cancer du foie, du pancréas, de l’intestin grêle et de l’anus où de nouveaux cas apparaissent également.
Il en est de même chez l’homme, les plus marquants étant pour le cancer de la prostate dénombrant plus de 50 000 nouveaux cas pour une hausse de 2,2%, du mélanome avec presque 8 000 cas pour 4% et le cancer du pancréas soit 7 300 nouveaux cas pour une hausse de 2,7%, sans oublier le cancer de la thyroïde, de l’intestin grêle ainsi que le cancer des testicules avec près de 3 000 nouveaux cas.

Cependant à contrario de ces hausses impressionnantes de cas, la courbe tend dans le sens inverse en ce qui concerne la mortalité. En effet, une diminution de 1,8% par année est constaté chez l’homme et de 0,8% chez la femme.
Le cancer du poumon reste à ce jour le plus mortel chez l’homme et selon le constat d’un des spécialistes de cette étude, il semblerait que l’« on est en train d’assister à un croisement des courbes ; le cancer du poumon va devenir, et sans doute de loin, la première cause de mortalité par cancer chez les femmes, devant le cancer du sein ». Une hausse qui serait liée au fait que depuis 1960, la consommation de tabac chez la femme aurait sensiblement augmenté, soulignons malgré tout que aussi incompréhensible soit-il, 15% des patients atteints de cette maladie n’ont pourtant jamais fumé. Ce rapport nous informe également que le cancer du sein est le plus ravageur en France, en Europe et partout ailleurs dans le monde chez la femme, une augmentation de cas qui aurait doublé entre 1990 et 2018 et heureusement pour lequel le taux de mortalité régresse chaque année, 58 459 cas en 2018 contre 12 146 cas de décès cette même année. Un phénomène qui selon le rapport pourrait être lié aux traitements hormonaux de la ménopause qui mettaient en évidence un risque de tumeurs mammaires. Cette incidence serait également retrouvée plus élevée chez la femme âgée entre 65-69 ans et 70-74 ans, mais il arrive encore que cette maladie soit décelée chez la femme jeune. L’on pourrait la négliger mais pourtant Suzette Delaloge, oncologue spécialisée dans le cancer du sein, explique que les progrès thérapeutiques et les diagnostics précoces notamment grâce au dépistage ont permis de prendre en charge de nombreuses femmes à temps, mais ces dépistages restent encore faibles, débattus et peu considérés semble-t-il.

Existe-t-il réellement des explications face à ces hausses de cas ?

Ces spécialistes tirent la sonnette d’alarme, à la fois en ce qui concerne l’hygiène de vie de chacun, en terme d’alimentation et de consommation et également en ce qui concerne les traitements que nous consommons au quotidien. Les auteurs de ce rapport pointent du doigt l’évolution défavorable des facteurs de risques connus : facteurs hormonaux, reproductifs, et également la prévalence de l’obésité. Ils précisent que 15% des cancers du sein, seraient liés à l’abus d’alcool et qu’à cela pourrait s’ajouter d’autres facteurs tels que le travail de nuit, les perturbateurs endocriniens ou encore certaines expositions professionnelles. L’oncologue, Suzette Delaloge parlerait même d’une véritable épidémie, en ce qui concerne les cancers invasifs de type cancer du sein, pour qui il faudrait « limiter les traitements hormonaux, pilules contraceptives, perturbateurs endocriniens qui peuvent fragiliser la glande mammaire et identifier les polluants qui nous tuent, il y a clairement un effet de l’environnement et du mode de vie global ».
Chez l’homme, l’inquiétude est plus formulé en ce qui concerne le cancer des testicules, en effet une baisse de mortalité est remarquée mais pour autant une hausse de l’incidence continue à évoluer au fil des années, à ceci, la question environnementale est soulevée à savoir l’exposition aux pesticides ou encore les perturbateurs endocriniens.
Pour l’heure, le cancer du pancréas ne reste pas moins celui dont les pronostics sont restés létaux, une hausse que ce soit chez l’homme ou la femme. Il s’agit néanmoins d’un cancer pour lequel il est encore difficile d’en connaitre une véritable cause, il semblerait selon le rapport qu’« une consommation excessive d’alcool et de tabac, une modification des comportements alimentaires associée à une prévalence croissante de l’obésité pourraient contribuer à expliquer en partie ces tendances »; mais pour le moment un travail est en cours afin d’essayer de comprendre ces différences, explique le Dr Olivier Farges.
En ce qui concerne les cancers de types hémopathiques malignes, (les maladies du sang) tels que le lymphoïde diffus à grandes cellules B (LDGCB) dont fait partie le lymphome non hodgkinien (la forme la plus fréquente), que ce soit chez l’homme et chez la femme la hausse demeure continuelle.
Le docteur Monnereau, développe qu’« en l’absence de facteur aussi connus que le tabac ou l’alcool, il faut évoquer des facteurs environnementaux, génétiques… Il existe avec certitude chez les agriculteurs une association entre le LDGCB et l’exposition aux pesticides, mais nous ignorons combien de cas leur sont attribuables et l’ampleur du rôle qu’une telle exposition environnementale jouerait dans l’ensemble de la population ».

Il est encore difficile de comprendre les véritables causes liées à ces augmentations de cas, alimentation, consommation entre tabac et alcool, notre exposition aux pesticides et produits environnementaux, les perturbateurs endocriniens, les produits sur-transformés que nous consommons, ou encore cette recette tendance à manger bio, rien n’est pour l’heure à négliger et les études sont encore en cours pour tâcher de comprendre et d’identifier ce fléau qui ravage notre décennie. Mais une chose est sûre, quoique que nous fassions, consommions, une influence se lie à ces pathologies.
Les préventions doivent s’accroître et permettre de dépister assez tôt ces maladies pour une meilleure prise en charge. Il n’est pas à négliger tout comme il est bon de savoir qu’entre 2012 et 2017, les dépenses de santé consacrées au cancer ont atteint plus de 3 milliards d’euros pour atteindre en 2017, 14 milliards d’euros selon l’Assurance maladie.

Nous ne pouvons nous désintéresser de ces informations et demeurer ignorants quant à ce qui se passe autour de nous. Nous avons tous, de près comme de loin, très certainement connu ou nous connaissons un proche, un(e) ami(e), collègue, atteint d’un cancer, maladie voire épidémie en reprenant le terme donné par l’oncologue, qui gangrène notre monde, qui s’attaque à des vies innocentes. Des causes inexpliquées, paraissant saugrenues qui viennent frapper nos proches et les plonger dans un état de désespoir, de peur, de crainte pour lequel la science ne cesse d’être à la quête de traitements efficaces, des remèdes pour irradier ces maladies de notre organisme.
Une fois de plus, il nous est impossible en tant que personne de ne pas se poser la question de ce que c’est, de ces origines, d’autant plus en tant qu’enfant de Dieu, prévenu de cette traque incessante du malin pour détruire et sacrifier la race humaine coûte que coûte.

Nous avons tous entendu cette phrase ; « c’est qu’aux bonnes personnes que cela arrive », ou encore pour un proche atteint du cancer du poumon entendre dire que cette personne ne fumait pas, ou d’un cancer du foie dire que cette personne ne consommait pas d’alcool. Ne demeurons pas ignorants, et ne sombrons pas dans cette passivité inconsciente, car le Seigneur à travers son esprit nous donne la vue, et la clarté pour comprendre les choses. Oui, le diable est rusé et pense à la manière des hommes et utilise toutes sortes de moyens pour aveugler l’Homme et le maintenir dans cette ferme ignorance. Mais à nous qui avons reçu l’esprit de Dieu, il nous a été donné la lumière et la connaissance de discerner, et le pouvoir à travers la prière d’agir. Nous disposons d’une arme plus que puissante et avons pour devoir de l’utiliser pour notre nation et combattre le mal.

Ne pensez-vous pas qu’il est en trop ? Que l’ennemi s’est trop installé ? Que l’Homme n’a pas assez souffert pour ensuite être encore malade ?
A la fois, le Seigneur nous fortifie dans sa Parole, nous réconforte à tenir fermes et demeurer dans la foi, mais il nous est également possible d’agir et de prier pour notre monde. Quels n’ont pas été les miracles que Christ a fait dans la Bible, délivrer les malades dont le diagnostic était irrémédiable, incurable, défiant toute nature, à plus forte raison en guérissant des aveugles et muets de naissance, n’agira-t-il pas pour un mal insidieux, infiltré dans notre organisme par ce qui nous environne. Car « nous n’avons pas reçu un esprit de servitude pour demeurer dans la crainte mais avons reçu un Esprit d’adoption, par lequel nous crions Abba! père! » [Romains 8 v 15], alors il ne tient qu’à nous d’agir et de repousser ces forces obscures qui détruisent l’Homme.

Chère Eglise, la ruse de l’ennemi s’étend sur tous les fronts: la maladie, la pauvreté, la guerre, la sécheresse, les condamnations, levons nos voix et prions contre ces maladies, pour ces personnes qui vivent dans le tourment. En effet Christ est venu pour les malades [Cf. Matthieu 9 v.12], pour sauver le monde du mal, à travers ses exploits et son Esprit-Saint, nous avons à notre tour la force et les outils nécessaires pour combattre le mal, guérir les malades et apporter cette bonne nouvelle salvatrice à notre nation, et quiconque croira et sera baptisé sera sauvé [Cf. Marc 16 v.16] et aura la vie éternelle.
Mobilisons-nous, agissons, notre devoir est d’apporter ce message et de prier, chère église, il est temps d’agir et d’aller dans les hôpitaux et de prier pour les malades.

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Rosine Mankangila

Artistes Press

Artiste, Journaliste presentatrice, assistante de tournage, Perchwoman, Entrepreneuse

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