Brésil: Apres l’effondrement du barrage minier, le bilan humain est de plus en plus lourd

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Brésil: Apres l’effondrement du barrage minier, le bilan humain est de plus en plus lourd

Société

Publié par Artistes Press | Le Mardi 5 Fév. 2019

Un véritable drame s’est produit au Brésil le 25 janvier 2019. Nous avons été nombreux à voir les images d’un barrage minier de Brumadinho s’effondrer, laissant s’échapper une rivière de boue couvrant tout sur son passage. Tout récemment, les autorités Brésiliennes décidèrent de divulguer les vidéos des caméras de sécurité filmant la rupture tristement impressionnante. À ce jour, le bilan humain est toujours plus lourd, l’on décompte encore 226 portés disparus et 121 morts dont 93 dépouilles ont pu être identifiées, selon les pompiers de l’État du Minas Gerais, rapporte le Figaro.

C’est une vision affreuse que le monde découvre, au travers de ces images des vidéos de surveillance, volontairement retenues par les autorités jusque-là, pour ne pas soulever un vent de panique générale dans le pays, justifient-elles. L’on y voit cette marrée marron grisâtre agitée, qui s’avance avec vitesse tel un tsunami. L’on peut alors s’imaginer l’ampleur des dégâts et de la difficulté du travail de recherche des autorités, qui d’ailleurs, se sont appuyées sur ces vidéos pour plus d’efficacité. « Les images leur ont servi pour analyser la trajectoire des résidus et mieux déterminer les aires de recherches. »

En 2015, le Brésil avait fait face à un drame similaire dans cette même localité de l’État du Minas Gerais. Une fois encore dans une mine, la mine de Samarco appartenant au groupe Vale et un groupe Australien BHP. À cette époque, le fleuve de boue qui s’étendit dans la ville de Marianna, causa la destruction de l’écosystème local ; ce qui fut de ce sinistre, la pire catastrophe environnementale dans l’histoire du Brésil. Cependant, ce drame causa des pertes humaines certes lourdes beaucoup moins importantes, 19 décès, contrairement à celle de ce début d’année. Pour cause, la marée de boue atteignit la vitesse de 70 ou 80 km/heure. Elle surprit les ouvriers qui travaillaient dans la mine Corrego do Feijao du fameux groupe Vale, pendant leur pause repas dans la cantine de l’entreprise.

Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent ; pleurez avec ceux qui pleurent. [Romains 12 v.15 Bible]

À l’annonce de cette triste nouvelle et à la vue des images de chaos, nous ne pouvons que pleurer avec ceux qui pleurent. Invoquer que l’ordre de Dieu puisse restaurer ce pays, et inspirer le gouvernement Brésilien pour construire des structures plus solides, plus sûres pour le bonheur du peuple. Car ce que Dieu veut selon la Bible, c’est que personne ne périsse mais que tous arrivent à la connaissance de la vérité, et à la repentance, afin de vivre sa gloire et ses promesses pour chacun d’entre nous, sa création. Évangéliquement parlant, cette triste actualité nous confirme qu’il serait difficile de comprendre l’importance de la vie, si nous ne prenons pas conscience de la mort. Également, de saisir l’importance de l’opportunité qu’il nous fait de nous rapprocher de lui dans les temps de vie qu’il accorde à chacun de nous, car au-delà, il sera bien trop tard.

En effet, nous sommes tous sujets à mourir un jour fixé par Dieu, ou mourir suite à nos mauvais choix qui ont précipité notre perte, néanmoins, la mort est bien présente dans notre quotidien. Elle guète chacun de nous. Ainsi donc, ne sachant pas à quelle heure et dans quelle circonstance nous pouvons être ravis vers le ciel, ou vers l’enfer, il devient salutaire de remettre notre existence entre les mains de Dieu, afin qu’il daigne nous préserver de la mort, des pièges du malin, des accidents, et bien d’autres dangers de la vie. De notre vivant, nous nous devons de prier que l’Éternel Dieu nous mène à mener des actions justes qui lui sont agréables et bénissent la vie du prochain. De peur que nous ayons accompli des choses peu gratifiantes de notre vivant, pris des voies qui au final nous ont conduit dans des mauvais chemins, ou vers des œuvres qui n’auront au final que peu d’impact et d’importance dans la vie de ceux restés après notre départ. Nous disparaissons alors dans la mémoire des Hommes, sans avoir marqué notre génération. Hélas, après la mort, l’Homme n’a plus rien à prouver, plus rien à rattraper, à refaire, ou modifier, laissant ainsi ses actions bonnes ou mauvaises parler pour lui, pour toujours.

Au jour du bonheur, jouis du bonheur, et au jour du malheur, réfléchis, car Dieu a fait l’un et l’autre, si bien que l’homme ne peut rien découvrir de ce qui doit lui arriver. [Ecclésiaste 7 v.14 Bible ]

Ainsi donc, si le Brésil en deuil compte ses morts d’une énième catastrophe, notre pays n’est pas à l’abri de subir des circonstances causant des drames et la perte de centaines d’âmes. Nous avons tendance à croire que le malheur ne frappe que les autres, si bien que lorsqu’il vient à franchir notre porte, nous perdons toute espérance et toute raison de vivre et de croire que Dieu agit malgré l’adversité. Pourtant, c’est dans la souffrance que l’Homme est plus apte à connaître la consolation de Dieu. C’est bien dans ces moments de douleur que Dieu s’approche des Hommes, que l’Homme est propice à connaître la miséricorde, le salut, le pardon, la guérison des blessures, et mieux rebondir pour le reste des jours de sa vie. En effet, tout comme le Christ est mort et ressuscité, nous aussi pouvons d’ores et déjà ressusciter de notre vivant, pour vivre une nouvelle vie pleine de grâce et de bénédictions. Avant de rejoindre notre réelle demeure céleste auprès du Père Créateur et Souverain.

Dès lors, avant que la mort vienne frapper notre vie, rendons grâce à Dieu pour la vie qu’il nous donne, reconnaissons donc que sans lui, nous n’aurions vécu jusqu’alors et ce, quelle que soit notre circonstance actuelle, favorable ou non. Car tant qu’il y a de la vie, il y a toujours de l’espoir, l’espoir de revivre et de renaître pour des jours meilleurs par Jésus-Christ. Grâce à la puissance de son évangile et ses révélations bienfaitrices pour tous les Hommes. Il y a donc de l’espérance pour pouvoir changer les choses de notre vivant. Non pas seulement par notre simple bonne volonté mais bien par celui qui transforme du tout au tout, qui donne la vie en abondance, et des opportunités les plus inaccessibles à tous ceux qui placent leur confiance en Jésus-Christ.

Il guérit ceux qui ont le cœur brisé, Et il panse leurs blessures. [Psaume 147 v. 3 Bible]

Il est une chose des plus évidentes, c’est Dieu qui donne, c’est également lui qui reprend. En cela, alors qu’il nous est encore permis d’intercéder pour nos Frères, prions afin que l’esprit de la consolation envoyé par Jésus-Christ console les familles attristées, relève les âmes abattues. Ayons une forte pensée pour ce pays afin que l’Éternel Dieu restaure les cœurs, les âmes et la nation Brésilienne. C’est l’Éternel Dieu qui guérit les cœurs brisés, redonne de l’espérance aux affaiblis, et permet à chacun d’espérer de nouveau dans ce monde ou le mal cherche tous les moyens pour créer le chaos, afin de priver de nombreuses âmes du salut qu’offre le Christ, ou de faire régner son chaos pour ôter la foi dans les cœurs.