Bonne Nouvelle ! Le prix du permis baissera pour le rendre plus accessible

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Bonne Nouvelle ! Le prix du permis baissera pour le rendre plus accessible

Politique

Publié par Artistes Press | Le mercredi 14 nov. 2018

Enfin une nouvelle réjouissante pour celles et ceux qui peinent à financer leur permis. Dans le cadre de la stratégie mobilité du gouvernement incluant l’aide de 20 euros de transport, ou encore le chèque énergie, le président Emmanuel Macron annonça également sa volonté de réduire le coût du permis de conduire. Plus encore, d’intégrer l’obtention du Code de la route à l’école, comme nous rapportent plusieurs médias. Ces mesures annoncées récemment par le président seraient déjà en cours d’examination, ainsi l’a précisé la ministre des transports Élisabeth Borne, le 26 octobre dernier. Mais leur présentation en détail est attendue pour la fin de cette année. Toutefois, il s’agit là de la continuité des ambitions du président qui depuis 2014, alors ministre de l’économie pour le gouvernement Hollande, avait établi une réforme du permis dans l’intérêt de raccourcir les délais de repassage à l’examen d’un candidat non admis.

Dans le cadre de la loi mobilité, on va drastiquement baisser le coût du permis. (...) Le code, on va l'intégrer à la partie scolaire. On veut aider à avoir le permis plus vite et moins cher, et l’acquisition du premier véhicule.

En effet, ce vendredi 9 Novembre, en déplacement à Lens, le président de la République se serait exprimé sur les projets concernant la loi mobilité, dont l’obtention du Code de la route à l’école, du prix du permis abaissé, et l’aide à l’acquisition d’un premier véhicule.
Mais il s’agit là d’un plan de travail de longue haleine. En septembre dernier, les ministres de l’économie et de l’intérieur étaient déjà sur le plancher de la question du permis. Pour ce faire, ils mandatèrent deux députés de La République en Marche, Stanislas Guerini et Françoise Dumas, pour une mission parlementaire visant à traiter des problématiques liées à l’apprentissage de la conduite.

Ces deux députés ont donc rencontré des inspecteurs, des auto-écoles et professionnels du permis en vue de définir avec eux les lignes directives de leur plan de travail. Soit, étudier de nouvelles façons d’améliorer le système, en évaluant en même temps les « évolutions réglementaires », soutient le président des Ecoles de Conduite Française (ECF), Frédéric Martinez. Ainsi donc, c’est tout le système de conduite qui vise à être redéfini. En effet, il est attendu que cette mission parlementaire prenne en compte les dernières innovations technologiques automobiles, pour les inclure dans l’examen de conduite, de demain. Au final, leur rapport sera délivré à la date du 15 Décembre 2018. En vue d’une réforme sur l’examen de la conduite inclue dans la loi Mobilité, qui sera traitée au Parlement dans quelques semaines, à l’aube du nouvel an 2019.

« Passer le permis coûte en moyenne 1.844 euros dans une auto-école classique, 1.581 euros dans une auto-école en ligne. S’il existe de nombreux dispositifs financiers, il faut les rendre plus transparents. Une réflexion doit aussi être menée sur la manière de rendre cet examen accessible, compréhensible, au plus grand nombre.
Nous avons encore des progrès à faire dans les délais d’attente pour repasser le permis comme dans l’accessibilité. Les délais ont déjà été réduits, passant de 93 à 65 jours. Mais nous sommes encore loin de la moyenne européenne »,, défend Françoise Dumas.

Il faut constater que la question du permis de conduire est un sujet concernant tous les Français, conducteurs ou ceux en devenir. Car si la problématique de l’accessibilité au permis est un fait, le repasser est un véritable parcours du combattant. Et c’est le magazine AutoPLus qui sut mettre le feu aux poudres pour alarmer l’opinion publique à ce sujet. Il dénonça par exemple, le délai pour repasser le permis toujours plus long à en devenir ahurissant, soit attendre 4 mois entre deux présentations, rapporte BFM.
Et que dire du prix exorbitant du permis, dénoncé depuis bien des années par les Français. Faisant naître le permis à 1 euro par jour, qui n’est franchement pas la solution au problème.

Une réforme attendue depuis bien longtemps

Cette mesure est très certainement la plus attendue car elle répondrait aux besoins de la population. Certainement, vous aussi chers lecteurs, vous êtes plaint de sa complexité, de son coût élevé et de l’inutilité de certains protocoles. Il est donc grand temps que ce système soit revu afin de le rendre accessible et moins protocolaire. Cependant, pourquoi donc avoir attendu un si grand moment, tandis que des points beaucoup moins importants sont votés en grande pompe ? Tel que l’apprentissage des pratiques sexuelles à des enfants n’ayant pas dépassés la dizaine d’âge, par exemple.
Pourtant, l’importance d’apprendre aux enfants, même en très bas âge les valeurs du vivre ensemble sur la route, ne peut être que bénéfique pour l’avenir. Si l’on désire réellement une amélioration significative de la sécurité sur les routes, pour la génération prochaine. Nul doute qu’il est possible, au même titre que les livres sexuels, d’adapter cet apprentissage pour les plus petits. Ce sujet ne devrait-il pas être considéré comme étant un sujet préventif ? Car le taux de mortalité sur la route, que l’on soit piéton ou automobiliste, est une triste problématique non négligeable.

« Mieux vaut tard que jamais ! » Ou encore « Merci Seigneur! »; seraient sûrement dans la bouche des futurs candidats à la conduite ou en repassage. C’est un fait, si ce sujet concerne tous les citoyens, les plus visés sont comptés parmi la jeunesse, souffrant de ne pas être suffisamment considérés dans les enjeux de nos politiques. Car il faut noter que l’obtention du permis est un saint graal obligatoire pour certaines entreprises, ou secteurs d’activité. Il est fort à espérer que par les nouvelles perspectives du gouvernement, le secteur de l’emploi puisse également retrouver une dynamique encourageante. De ce fait chers lecteurs, il est un pouvoir dans la sensibilisation, et la prière également pour les croyants. Si nous espérons changer la donne et influencer nos politiques à penser et faire des choix, en faveur du peuple et de ses besoins.

C’est donc de la responsabilité des croyants, qui croient contre toute attente à la puissance de Dieu et sa capacité à agir aux plus hautes sphères, pour que soient mis en place des décrets, même les moins importants qu’ils soient, d’abord en faveur du peuple et de son bien-être. Néanmoins, sachons que c’est l’Éternel qui pourvoit, donne à l’Homme au temps convenable. Plus encore, à celui qui place sa foi en Dieu par Christ-Jésus. Ce dernier est garanti de vivre des miracles, pouvant lui permettre d’obtenir le financement du permis par exemple, alors que tout était rouge sans une intervention divine en leur faveur.
« Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. » [Philipiens 4 v.6 Bible]