Attentat terroriste ? Complot politique ? Strasbourg reste en alerte !

Il est 20 heures, ce mardi 11 décembre 2018, lorsqu’une fusillade éclate à Strasbourg. Un assaillant né à Strasbourg nommé Chérif C. âgé de 29 ans, ouvrit le feu sur des Strasbourgeois. En plein centre-ville où se tenait également le Grand marché de Noël. C’est au niveau de la rue des Grandes arcades et de la Place Kléber que certaines victimes perdirent la vie, et d’autres, sont entre la vie et la mort, révèle le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez. En effet, selon le bilan provisoire de la préfecture du Bas-Rhin, l’on décompte deux décès, cinq blessés graves et six blessés légers, rapporte le Monde. Quant au tireur toujours en fuite, il serait connu des services de police. Fiché S, sa radicalisation aurait été progressive au cours de ses séjours en prison, rapporte le secrétaire d’État qui préférait se garder de parler d’acte terroriste. Pour cause, l’auteur des faits connu pour plusieurs délits n’a jamais encore été incarcéré pour des délits liés au terrorisme.

C'est un individu qui était radicalisé parce qu'il tenait des propos apologiques ou prosélytes en prison - Il a fait plusieurs séjours en prison et c’est à l’occasion de ces séjours en prison qu'a été détectée chez lui une radicalisation, dans la pratique religieuse - C’est un individu connu en droit commun, c’est-à-dire qu’il était connu pour beaucoup de délits autres que liés au terrorisme - Rien ne permettait de détecter un passage à l’acte.

Le procureur de Paris a confirmé ce jour que l’attaque de Strasbourg serait bien un acte terroriste. D’après les informations, le tireur ne serait pas entré dans le marché de Noël à proprement dit ; il aurait ouvert ses premiers coups de feu vers 19h50, au Carré-d’Or, à la rue des Orfèvres, pour finir son crime à la rue des Grandes Arcades. Comme à l’accoutumé, le terroriste aurait crié « Allah Akbar ». Il y eut des échanges de tirs entre des militaires de l’opération « sentinelle » et une patrouille de police nationale. Au cours de leurs échanges de tirs un militaire fut blessé à la main, mais l’assaillant se prit également une balle dans le bras. Il finit par s’enfuir au moyen d’un taxi qu’il prit en otage. Le conducteur le déposa dans le sud de Strasbourg, au quartier de Neudorf; et ira voir les autorités pour expliquer sa mésaventure.

Nombre 11, nombre de la confusion ; date où se sont déroulées des tristes opérations terroristes dans le monde. Est-ce donc là une date choisie volontairement par notre gouvernement pour organiser une manigance afin de balayer la mouvance des gilets jaunes inondant nos médias ? C’est bien ce que croient durs comme fer de nombreux gilets jaunes s’exprimant sur leurs réseaux sociaux. Ces derniers sont convaincus que cette exaction à Strasbourg est une supercherie du président Macron, voulant faire instaurer un climat de peur. Afin de dissuader les manifestants, faire passer le pays à autre chose, tandis qu’un Acte V de mobilisation des gilets Jaunes est prévu ce samedi 15 décembre dans toute la France.

‘Macron (et) le gouvernement font exprès de faire un attentat pour instaurer l'état d'urgence pour empêcher les gilets jaunes de faire la révolution.’
‘SAMEDI 15 DECEMBRE 2018 ACTE V ! Ne nous laissons pas impressionner par cet attentat monté de toutes pièces par les services secret !!!’
‘Il y a eu des coups de feu, il y a eu des blessés, il y a peut-être un décès, ça se trouve c'est juste un fou ! Si c'était un attentat, dites-vous bien que le mec n'attend pas qu'il y ait 3 personnes dans une rue le soir à 20h. Il va en plein milieu des Champs-Elysées quand il y a des millions de personnes et il se fait exploser, ça c'est un vrai attentat ! Le reste, c'est des effets pour faire peur.’

Ces propos auraient fortement indigné le secrétaire d’État, qui s’offusque de telles accusations à lors que des victimes se battent encore entre la vie et la mort. D’autant plus qu’un ressortissant Thaïlandais serait l’une des victimes ayant perdu la vie. Toutefois si les gilets jaunes s’entêtent à accuser le gouvernement, il en va que le climat de peur à la veille des grandes festivités semble bien instauré. En plus de la fermeture jusqu’à nouvel ordre du marché de Noël, tout rassemblement est également interdit dans la ville de Strasbourg.
La France, victime des blessures des graves attentats meurtriers en masse des années précédentes, est actuellement placée en urgence-attentat du plus haut niveau. Ce qui permit d’ailleurs de déjouer plusieurs tentatives d’actes terroristes sur le territoire. C’est-à-dire qu’un certain protocole est mis en place pour assurer la sécurité des citoyens, dont une « surveillance renforcée des marchés de Noël partout en France pour éviter un éventuel mimétisme », déclara la ministre de la Justice, Nicole Belloubet. La Garde des sceaux se veut donc plus rassurante, affirme qu’il ne serait absolument pas nécessaire d’instaurer l’état-d’urgence à Strasbourg. « Je pense que nous pouvons être à la hauteur des événements sans pour autant déclencher l'état d’urgence ».

Car c'est du coeur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres [Matthieu 15 v.19 Bible]

Manigance de l’État ou acte terroriste, il va sans dire qu’en cette période de fin d’année, les Hommes radicalisés aux esprits criminels, s’agitent. Pour perpétrer des meurtres, faire couler le sang d’innocents au nom de leur Dieu. Alors que les croyants du monde s’apprêtent à fêter la naissance symbolique du Christ. Ainsi quelles que soient les raisons de cet acte condamnable, il est fort probable que d’autres âmes très mal inspirées portant en eux la semence du mal et de la haine en leur coeur, s’y mettent à leur tour. Toutefois, Chérif C. est-il conscient d’avoir été un outil pour instaurer la destruction dans sa ville ? Certainement pas car selon les évangiles, le mal rend aveugles ses proies, souille davantage le coeur mauvais des Hommes par nature, fait naître en eux assez de haine pour les rendre malléables à souhait.

L’on peut néanmoins se demander si le gouvernement aurait orchestré de telles exactions comme l’affirment certains gilets jaunes. Nul doute que nos politiques se garderont de répondre en validant être les initiateurs de ce drame. Nous nous gardons également de spéculer sur la question, bien qu’il soit prouvé que certains gouvernements mirent en place des plans de tragédies, afin de se sortir d’une situation dite de crise. Autant dire que rendre le mal par le mal, soit un attentat pour donner un coup aux agissements tout aussi destructeurs des gilets jaunes, n’est vraisemblablement pas la solution.
Tout ce qui reste aux citoyens est la foi que Dieu daignera les préserver du danger et de la mort au jour du malheur. Car aucun Homme n’est à l’abri d’un drame ou d’un complot organisé dont il sera la victime ou le dommage collatéral. En effet, le coeur de l’Homme est mauvais par-dessus tout, qui peut le connaître et le changer ? Si ce n’est l’Éternel Dieu le créateur. Nous sommes forcés de constater que l’Homme sans Dieu, oeuvre continuellement pour sa propre destruction.

Chers croyants, si le monde s’est détourné de Dieu, la parole de Dieu qualifie ceux qui croient en Jésus-Christ comme étant le sel de la terre, la lumière du monde. La paix de notre nation et sa sécurité dépendent alors de la prière fervente des « justes », dont la Bible dit qu’elle « a une grande efficacité » [Jacques 5 v.16 Bible]. Dans ces temps déterminants où se clôture l’année 2018, les ravages de la mort se font également connaître, sous toutes leurs formes. Mais l’Éternel Dieu dans sa grande bonté peut nous épargner des oeuvres du mal agissant dans notre cosmos, afin d’accorder de l’avenir, de l’espérance et de la sécurité à notre pays.

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