La Bible, Pro Vie, est pourtant claire à ce sujet, “Il n'y aura dans ton pays ni femme qui avorte, ni femme stérile.” [Exode 23 v.26]. Pourtant dans cette génération pervertie où moeurs et valeurs s’avèrent arriérées, la Bible, qui vient sonder la profondeur de l’être humain, naturellement dérange. Or nous devons reconnaître les bienfaits de ses préceptes et enseignements pour l’épanouissement de l’Homme dans un parfait bonheur. Mais elle vient tout de même s’opposer aux libertés actuelles que prend l’Homme pour agir. Par exemple, pour les femmes qui veulent disposer de leur corps comme bon leur semble, il va de soi que les écritures saintes gênent. Les législations du monde favorisent donc ce qui s’avère pour les anti-avortements, croyants ou non, un massacre à grande échelle. Plus besoin de rappeler qu’au stade embryonnaire et voire même bien avant, ces petits êtres existent et vivent déjà, par le souffle de Dieu.
Autre point qu’il n’est plus à redire; les risques que comportent les interruptions volontaires de grossesse. Des risques bien dramatiques. Déjà en 2015, notre rédaction s’était longuement penchée sur ce sujet dans un article concernant la hausse de décès suite aux IVG mal pratiquées. Des interventions mal exécutées que l’on compte encore aujourd’hui, en grand nombre, surtout dans les pays en développement, faute de structures et de moyens. Mais ces interventions à haut risque dans une partie du globe, sont pourtant bien maîtrisées dans les pays dits riches, tel que notre chère France par exemple. Une pratique devenue “banale”. Cela devient donc extrêmement inquiétant lorsque celle-ci, exécutée dans un centre hospitalier, à la pointe de la formation et des équipements, tourne au drame. Bien qu’il en soit rare, les dégâts présents sont gravissimes. Il s’agit là d’une bavure hospitalière d’une telle ampleur; qui plus est, dans un hôpital réputé et équipé, inconcevable.
“Je suis rentrée en excellente santé au Centre hospitalier universitaire de Bordeaux un soir de juillet 2011, et j’en suis ressortie massacrée un mois plus tard”.
Quel drame pour cette épouse et mère de famille de trois enfants, âgée de 36 ans, qui rejoignit un hôpital pour y pratiquer une interruption de grossesse. Ressortie après maintes visites et amputée des quatre membres. Les faits survenus en juillet 2011 témoignent l’histoire macabre d’une jeune bordelaise nommée Priscilla Dray. Après une infection nosocomiale attrapée durant son IVG, elle voit sa vie basculer et perd ses membres par un manque de suivi médical.
Début de son calvaire; une forte fièvre atteignant les 40°C. La jeune femme se rend
aux urgences, deux fois de suite. La première fois, elle subit un total mépris de la
part d’une interne et d’un médecin, échangeant sur son cas par téléphone. Alors qu’à
cet instant son état paressait déjà très inquiétant, le médecin, en ligne, refusa catégoriquement
de lui prescrire des antibiotiques. Des médicaments qui lui auraient permis d’échapper
à l’irréparable. Par ce refus crucial, Priscilla Dray vit sa santé se détériorer.
Le lendemain, elle retourna voir cette fois-ci, son médecin, qui constate effectivement
un sérieux problème et fait appel aux ambulanciers, après avoir rédigé une lettre de
recommandation d’urgence à ses confrères. Les urgentistes nonchalants, ce sera finalement
un SAMU privé qui l’a prise en charge. Ne délivrant aucun suivi médical au cours du trajet,
ces derniers déposèrent la patiente au mauvais service de soin.
“Si j’avais été prise en charge par le Samu, les ambulanciers auraient sûrement
constaté que je faisais une grave septicémie et m’auraient amené dans le bon service de
l’hôpital pour me soigner en urgence, confie-t-elle. Là encore, je n’ai pas eu de chance.
L’ambulance qui m’a transportée n’était rien d’autre qu’un taxi dans lequel aucun examen n’est fait.”
Le tragique périple de Priscilla se poursuit. Arrivée au CHU de Bordeaux, elle est
reçue par une étudiante en médecine “hautaine et désagréable”, décrit-elle. La
jugeant de bourgeoise faisant de simples caprices après une IVG, l’interne en médecine
décida tout bonnement d’ignorer la lettre du médecin. Pourtant, les réactions liées à
son infection surgissent. Ce qui s’avère être la bactérie streptocoque pyogène de type
A, également surnommée la bactérie mangeuse de chair, en pleine action sous
la peau de ses pieds et ses mains, engendrant le gonflement d’un de ses doigts. Pour
l’interne débutante, il ne s’agit que d’une réaction à un choc.
Ce sera finalement un médecin qui déclenchera le signal d’alarme, diagnostiquant la gravité
de son état. Mais trop tard, Priscilla tombe dans le coma et ses chances de survie ne
s’élèvent qu’à 5% selon le corps médical, qui l’annonce à son pauvre époux.
Finalement elle ressort vainqueur d’une mort imminente, mais complètement massacrée,
amputée de ses quatre membres, dit-elle, “Avant de mettre les pieds au CHU de Bordeaux,
j’étais une jeune femme très dynamique et féminine. Tout d’un coup j’étais en fauteuil,
handicapée, au milieu de graves accidentés de la route et de personnes âgées. Tout ça,
à cause d'une erreur médicale”.
L’espérance est alors son seul leitmotiv. Priscilla Dray demeure dans l’espoir d’une
greffe des mains. Non effectuée en France - ce qui est étonnant car notre pays est en
effet pionnier dans ce secteur - mais plutôt dans la ville mythique de Philadelphie grâce
à l’exploit médical du petit ZION, greffé des deux mains.
Que justice soit faite! Car bien que l’avortement soit un crime, subir un tel mépris
de la part des services médicaux, est bien inadmissible et passible de jugement. Mais ce
n’est malheureusement pas un fait nouveau. Il existe maints cas de bavures médicales qui
ont conduit des patients à la mort. Mais pour des structures puissantes et bien ficelées,
nombreux sont les médecins à avoir esquivé la justice, s’en sortant sans condamnation.
“J’aimerais vraiment voir le médecin du CHU de Bordeaux, celui qui ne m’a pas prescrit
les trois petits grammes d’antibiotiques qui auraient changé ma vie, derrière les barreaux,
confie-t-elle. Même si je n’y crois pas trop. Là encore, notre système est mal fait. En
France, les médecins ne sont pas juridiquement responsables de leurs erreurs. Et les internes
encore moins. Pourtant, le médecin qui ne s’est même pas déplacé et qui a refusé à distance
de me prescrire les antibiotiques dont j’avais besoin est un criminel.”
Et rien ne semble la freiner. Priscilla Dray compte bien se battre coûte que coûte, pour que son préjudice soit totalement reconnu. Six ans plus tard, le combat continue. En effet, le CHU fut condamné par un collectif d'experts du tribunal administratif de Bordeaux, à seulement 300 000 euros d’indemnité car selon les magistrats, “Aucun élément ne permet de limiter la part de responsabilité du CHU dans la survenance du dommage”. Une peine qui évidemment n’équivaut au drame encouru par la patiente.
Il n’y a de secours et de sécurité qu’en l’Eternel. Prions pour ces âmes hospitalisées.
Car, loin d’être naïfs, sachons que les services hospitaliers regorgent d’occultisme, et
d’oeuvres malveillantes. L’on ne compte plus les témoignages de patients concernant des
médecins prêts à les laisser mourir. La médecine s’empressant de condamner. Pour des
raisons qu’ils ignorent ou autres, le monde des ténèbres réclame des vies et du sang. Or
Christ seul, par son sang, donne la vie et la guérison de tous les maux [Esaïe 53 v.5].
Une pensée et une prière sincère pour Priscilla Dray et toutes les victimes d’erreurs
médicales, afin que Christ-Jésus répare ces âmes brisées, et ces corps saccagés.
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La Rédaction
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