Une exhortation écrite par Yannick NILA

Nous avons appris qu’en matière de médecine, malgré ses divers prodiges, il était alors impossible de greffer un membre alors totalement absent du corps d’un patient adulte. Enfin, jusqu’à ce jour. La science a bien évolué. Et le courage d’un chirurgien fit la différence. Il se nomme Adam Domanasiewicz, et tenta pour la toute première fois, une opération jusqu’alors jamais entreprise, brisant ainsi le mythe de l’impossible. Son témoignage éveilla une lueur d’espoir à tous ces adultes naissant sans membres et se rabattant sur des prothèses. Une ère s’achève. Les patients n’auront donc plus à subir l’implantation d’un membre artificiel sur leur corps. Cependant tant de questions, évidentes, se posent. A savoir, comment choisir un organe à greffer, compatible et en harmonie avec le reste du corps du patient? Peut-il y avoir des risques de dysfonctionnement?
Incroyable mais vrai, voici l’histoire de l’homme qui naquit sans main. Nous sommes là en face d’une première mondiale.

Le miracle de la science

Tout commence à l’hôpital universitaire polonais de Wroclaw à l’ouest du pays. Le docteur Adam Domanasiewicz, chef aux commandes de l’équipe chirurgicale, est un homme heureux. Se félicitant de la réussite de l’intervention, le chirurgien se dit comblé d’avoir essayé là où d’autres n’ont osé. Etrange que cela puisse être, le chirurgien greffa bien des mains réelles, provenant d’un donneur décédé. Et c’est avec succès que Piotr, né sans mains, âgé de 32 ans, peut à présent présenter, lui aussi, de réelles mains neuves ou presque.
“C’est la première greffe au monde d'un membre supérieur chez un homme avec une malformation congénitale. On parle d'un homme adulte qui a vécu 32 ans sans ce membre”, précise le médecin lors d’une conférence de presse diffusée sur la chaine télé privée Polsat News.
L’opération qui a eu lieu le 15 décembre dernier, n’en fut pas moins complexe.
“Cela revêt une importance colossale pour le développement de la transplantologie et de la neurophysiologie car jusqu’à présent on considérait qu’en cas de malformation congénitale, les greffes ne pouvaient être réalisées en l’absence de représentation (de l’organe) au niveau du cortex cérébral qui dirigerait le membre greffé”.
Mais comme le dit si bien cette citation; Qui ne tente rien n’a rien. Après 13 longues heures nécessitant le raccord des différents types de tissus; les médecins constatent que le patient à la faculté de bouger ses doigts, mais sa main reste encore immobile. Néanmoins le corps médical reste optimiste. Quant au patient, il devra s’armer de patience pour apprendre à utiliser ses mains. Une nouvelle étape de la vie pour ce dernier. Qui n’est pas à plaindre, lorsque l’on considère les risques de rejet voire de mortalité après une transplantation.
Et bien que des greffes similaires aient été réalisées pour la première fois sur des jumeaux siamois, mais aussi au Canada et en Indonésie, cela reste une première intervention sur un homme adulte.

Une science infinie

La science ne cesse son cheminement vers l’excellence. Les scientifiques poussant davantage les frontières de la connaissance, pour l’amélioration de la condition humaine. Voyez à ce jour, les prouesses réalisées; il nous est enfin possible de greffer un membre alors inexistant. L’histoire de ce trentenaire ainsi que le cas exceptionnel du petit Zion Harvey, restent spectaculaires pour le corps médical. Rappelez-vous de ce jeune garçon âgé de huit ans, greffé des deux mains, suite à l’amputation de ses avant-bras, en bas âge. Pleins d’autres exemples existent depuis la première tentative réalisée en France par le célèbre docteur Jean-Michel Dubernard.

C’est bien de Dieu, créateur, que l’Homme acquiert toute cette connaissance. “Car il donne à l'homme qui lui est agréable la sagesse, la science et la joie” [Ecclésiaste 2 v 26]. Il est celui qui implante dons et talents parfaits en nous, pour notre évolution et notre croissance. Bien que la science des Hommes soit aussi source de grandes catastrophes sanitaires, Dieu auteur d’oeuvres excellentes [Jacques 1 v.17], reste à l’origine des inspirations et aspirations d’éminents docteurs, dans la découverte notamment d’antivirus contre les maladies, et des prouesses chirurgicales encore jamais relevées. Tout cela pour le bien-être des Hommes.

Mais alors que la médecine soulage, Dieu se distingue davantage, revêtant ainsi sa pleine souveraineté. La parole de Dieu, pour tous ceux qui désirent connaître, faire la rencontre de notre Créateur, regorge de solutions à tous nos maux. Il est dit que sa parole détient le pouvoir de guérir tant physiquement que spirituellement et bien plus encore. Les avancées humaines ne peuvent égaler la science divine de Sa Majesté. Une science, qui va à l’encontre des principes terrestres. Capable de ressusciter un mort, et bien d’autres miracles que Jésus-Christ notre Seigneur, ses disciples et tout enfant de Dieu eurent à réaliser, où la médecine n’était alors qu’au stade primitif, et également dans notre ère, malgré les avancées technologiques.
Nous parlons d’une science infinie qui dépasse notre entendement comme le précise si bien le psalmiste David, “Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.” [Psaumes 139 v.6].
De ce fait, nous pouvons garantir que sans l’inspiration manifeste de Dieu, en tout Homme, croyant ou non, la connaissance humaine s’avère être limitée et incomplète.

La Rédaction

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