Une exhortation écrite par Yannick NILA

Sans domicile fixe, au chômage ou même mal logé, etc. Des situations qui touchent une majorité de la population Française. Ce qui relève pour notre nation, un véritable problème au niveau social. Dans l’immobilier comme la vie professionnelle, les présidents locataires de l’Elysée, n’ont pour ainsi dire, apporté de véritables solutions, rendant même pour beaucoup la situation bien critique. Concrètement, les aides promises aux personnes défavorisées sont devenues une charge pour le pays. Principales victimes ? Les classes moyennes et basses.

Un cercle vicieux faisant office de prison. La réalité de la société veut que chacun dispose d’une activité professionnelle pour bénéficier d’un logement. Mais au préalable, pour bénéficier de toutes ces choses, il nous faut entrer dans un circuit crée par cette même société. Commençant par la scolarisation dès le bas âge jusqu’à l’obtention de diplômes qualifiants, permettant l’entrée dans la vie active. Ainsi par la suite, la personne pourra prétendre à un logement.
Mais voilà qu’entre temps, les revenus faibles, l’inflation des prix, l’insécurité de l’emploi, sont des facteurs entrainant la crise de l’emploi et du logement. Voilà le problème majeur de presque tous les sans domiciles. Sans emploi, pas de logement.
La question se pose alors : quelle solution à cette problématique l’Etat apporte-t-il ?

Jusqu’à présent, les quelques solutions appliquées ne furent d’une grande aide, au point de rendre chacun dépendant de l’Etat. Par les aides sociales, notamment. Bonne initiative, certes, mais les résultats sont-ils pour autant meilleurs à long terme ? Pouvons-nous parler de progression ?
Malheureusement non. Car la crise persiste, et ne semble d’ailleurs totalement préoccuper l’Etat, qui y trouve ses intérêts, au détriment d’une population défavorisée.

Comme le cas d’Olivia, 25 ans et mère de 4 enfants. Sans domicile, elle fait justement partie de ces personnes qui malgré toute la volonté et les efforts ne parviennent à s’en sortir. Nous avons eu connaissance de son témoignage via la page Facebook de « La Révolution est en marche Nationale ». La jeune femme, qui élut domicile dans la rue depuis maintenant 1 ans, raconte comment elle fut expulsée du domicile de sa mère. Prise en charge une fois par le 115, elle put obtenir une chambre. Mais en la quittant pour bénéficier d’une autre, le 115 refusa de l’aider à nouveau.
Olivia crèche alors dans sa voiture et parfois chez sa grand-mère avec ses enfants dont deux d’entre eux furent placés. Elle explique toutes les démarches nécessaires qu’elle entreprit pour obtenir un logement. Elle évoqua d’ailleurs le droit à l’Hébergement Opposable. Censé lui permettre d’obtenir un logement que l’Etat se doit de lui garantir. En vain, malgré plusieurs tentatives.

Des logements vides, ce n’est pourtant pas ce qu’il manque. Alors pourquoi toute aide à Olivia lui est refusée ? Il est évident que l’Etat jouisse de failles importantes dans son système. Il n’est aucunement capable de tout résoudre. Et 2 volets en ressortent.
D’une part, l’apôtre Paul nous exhorte à prier pour nos autorités, afin nous vivions une vie paisible [2 Timothée 2 v.2]. De sorte que les bonnes décisions en faveur du peuple, soient prises, pour une société épanouie et riche. Il nous incombe alors de prier pour notre Président, M. Macron, pour son gouvernement, la législation, car nous ne sommes sans savoir que la France marche à mille lieux des principes de Dieu.
D’autre part, la Bible nous dit : « Recommande ton sort à l'Eternel, Mets en lui ta confiance, et il agira. » [Psaume 37 v.5].
Nous sommes si nombreux à nous battre contre les difficultés de la vie, les injustices de la société ; nous battre à trouver une bonne situation, un logement, un travail, survivre. Mais face à tout cela, sachons que seul Dieu peut nous apporter la situation qu’il nous faut ; seulement si nous lui laissons la possibilité de prendre la main sur nos difficultés, nos problèmes, nos combats. Car c’est lui qui ouvre les portes là où tout est fermé et déclare « oui » là où la société nous refuse et nous rejette.
Ne nous laissons donc pas envahir par les inquiétudes, devant les incapacités d’une société qui vit en dehors de Dieu, mais fixons nos regards sur celui qui peut frayer un chemin de bonheur.

Perla Kouam Waffo / Audrey Wolber

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