Israël: découverte de nouveaux vestiges bibliques

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

A la conquête de l’histoire et de ses secrets. Telle est la passion de ces archéologues qui n’hésitent pas à sillonner la planète pour dénicher les plus belles découvertes. Se cultiver ou pour marquer l’histoire, toutes les motivations sont là pour l’endurance de ces chercheurs.
Quoi de bien plus passionnant que l’histoire biblique, d’ailleurs réputée comme étant le centre prédominant des recherches archéologiques, plus précisément, celle des hébreux ? Des peuples, des traditions, des récits à la fois passionnants et instructifs.

A notre ère, nombreuses ont d’ores et déjà été les découvertes sur le peuple d’Israël. Des recherches qui viennent d’ailleurs appuyer, affirmer et certifier les Saintes Ecritures. Quelques semaines auparavant, nous vous parlions de la découverte effectuée sur le peuple des Philistins, mentionné dans la Bible.
Aujourd’hui, nous vous amenons du côté de la mer de Galilée.

Dans une synagogue, perchée sur une colline dans le nord d’Israël, lieu des recherches du jour, une équipe d’archéologues, sous la direction de Jodi Magness, a débusqué deux grandes mosaïques, sur lesquelles figuraient des scènes bibliques. Particulièrement, l’histoire de l’Arche de Noé et la traversée de la mer Rouge par Moïse et tout le peuple Hébreux.
“On peut y voir les soldats du pharaon avec leurs chars et leurs chevaux en train de se noyer”, déclare Jodi Magness.
Mais la chercheuse précise qu’il s’agit là de faits très rares; “je ne connais que deux autres représentations de la scène de la mer Rouge dans des synagogues aussi anciennes”. De même pour les représentations de l’arche de Noé, qu’elle ne trouva que sur le site de Jerash en Jordanie et de Misis en Turquie.
D’après les témoignages, on peut dire que Jodi Magness mérite les félicitations. Car s’appuyant sur son talentueux instinct de chercheuse, elle conduisit toute son équipe à la grande découverte. Une découverte pourtant inespérée dans une zone morte de la synagogue. Mais au vu de l’accumulation des pierres et saletés au fil des ans pour préserver des pièces d’exceptions, la chercheuse misa le tout pour le tout. Et cela paya.
Aujourd’hui, l’équipe d’archéologue a levé le camp mais ce n’est que de courte durée. De nouvelles fouilles sont d’ores et déjà prévues.

Chercheurs de Dieu

Hormis cette belle découverte, qui vient une fois de plus prouver au monde entier l’exactitude de la Parole de Dieu et son message, nous décelons par cette information un bel exemple d’attitude. La recherche. Passionnés, comme suscité, ces chercheurs ne se permettent jamais de relâcher leurs efforts mais poursuivent avec résolution leur quête. N’est-ce donc pas là un bel acte de foi. Pour une poursuite certes, non salutaire pour un sou.

Alors, bien-aimés, ne nous est-il pas dit et redit sans cesse de “chercher premièrement le royaume et la justice de Dieu”. Il s’agit bien là d’une quête infinie. Une quête qui nous conduit au salut de notre âme. Une manifestation de foi que la Bible nous préconise. A notre tour, nous sommes les chercheurs de Dieu. De même que ces archéologues poursuivent les trésors des vestiges terrestres, assouvissant un quelconque besoin, nous puisons sans cesse, dans la méditation et la lecture de la Parole de Dieu, des trésors inépuisables, pour le bien-être de nos âmes.

Nous ne connaissons qu’en partie, nous dit la Bible, ainsi tout au long de notre marche, soyons à la recherche de Dieu, de sa Parole, son message, ses révélations enfouies.
“Les choses cachées sont à l’Eternel, notre Dieu; les choses révélées sont à nous et à nos enfants, à perpétuité, afin que nous mettions en pratique toutes les paroles de cette loi” [Deutéronome 29 v.29]
Sachons, bien-aimés, que notre quête ne finira qu’une fois ayant remporté le prix de la vocation céleste. D’ici-là, faisons acte de foi et de persévérance dans la recherche de notre Dieu et sa Parole pour nous.
“[…] Ce n’est pas que j’aie déjà remporté le prix, ou que j’aie déjà atteint la perfection; mais je cours, pour tâcher de le saisir, puisque moi aussi j’ai été saisi par Jésus-Christ. Frères, je ne pense pas l’avoir saisi, mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ” [Philippiens 3 v.12-14].

La Rédaction

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