Un vaccin stérilisant ciblant les Africains

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

Introduction

Inadmissible c’est le sentiment qu’ont beaucoup d’entre nous mais rien d’étonnant parmi ceux qui lisent entre les lignes et qui suivent à la lettre les signes, les faits et gestes des gouvernements mondiaux par leur façon de faire régner l’ordre et d’imposer des lois qui déterminent le sort de l’humanité. Une chose attire notre attention, voir plusieurs hommes, femmes et enfants de la population afro-Américaine, subir un traitement insoutenable. Pratiquement chaque jour, des nouvelles tombent. Un enfant, un adolescent ou encore un homme afro-Américain est abattu par la police et personne ne semble plus troublé que cela !
Ceci fera sûrement un sujet d’un article prochain mais, en attendant, lorsque l’on tombe sur des infos démontrant un plan tout tracé et ciblé visant à effacer la population noire de la planète, on doit se poser la question pourquoi ? La situation devenant vraiment alarmante.

Il y a là une volonté de détruire et stériliser toute une génération, protestent des médecins Kenyans, après avoir détecté un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos.
Qui sont donc les cibles potentielles ?
Nous savons que dans toutes les sociétés, la femme est l’image même de la création, elle qui assure et préserve la vie, elle dont l’humanité prend une ferme certitude d’une perpétuité de son espèce. En Afrique, elle est encore plus que cela; elle est la symbolique même de la vie donnée par Dieu! Car si les enfants sont les dons de Dieu, la femme en est certainement la voie et la porte du monde. Les femmes dans l’histoire de l’Afrique ancestrale, étaient des prêtresses, des reines, les gardiennes de la vie, le noyau même de la cellule de base de la nation.
Principale cible ? Car les ennemis de l’Afrique ont compris comment faire tomber le continent noir.

Unité noire

Alors quel est ce dessein obscur ? Quelle est cette haine que l’on peut porter contre l’Afrique jusqu’à vouloir stériliser les femmes noires pour empêcher la multiplicité de ce peuple comme pour l’exterminer de la terre. Voilà malheureusement ce qui anime le coeur de certaines personnes dans le monde. Ce message est donné non pas pour ceux qui passent leur temps à planifier ces projets de meurtre car nous condamnons toutes ces choses et nous les mettons en prière afin que le Seigneur les visite comme il a fait pour Paul sur le chemin de Damas sachant que nous ne luttons par contre la chair et le sang. Mais le message s’adresse à toutes les familles du peuple Africain, afin qu’il puisse y avoir un éveil et un réveil des consciences de pouvoir définir le monde dans lequel elles vivent et de restaurer la paix en Christ. Que chacun puisse être en harmonie avec soi-même et avec les autres et se rappeler qu’il est peuple de Dieu avant tout et frère dans l’unité. Ce qui touche un Africain de l’est touche celui de l’ouest. De même pour celui du nord comme au sud. Au travers de cette unité naîtra le véritable changement venu de Dieu lui-même.

“ L’Eternel des armées les bénira, en disant: Bénis soient l'Egypte, mon peuple, Et l'Assyrie, oeuvre de mes mains, Et Israël, mon héritage!” [Ésaïe 19:25]

Il suffit à l’Afrique de se rappeler qui elle est, et de qui elle est tirée, elle saura alors que le Seigneur l’Eternel Dieu est son seul Seigneur et Il veut lui faire du bien mais ses ennemis font tout ce qui est en leur pourvoir pour contrôler même les pensées des Africains et leur faire douter de leur identité pour mieux les écraser.

“Ta vie sera comme en suspens devant toi, tu trembleras la nuit et le jour, tu douteras de ton existence.” [Deutéronome 28:66]

Les Africains doutent tellement de leur existence qu’ils ont tendance à oublier les grandes lignes de l’histoire, marquée par la traite négrière, l’esclavage, la colonisation et la néo-colonisation; des atrocités qu’ils subissent encore aujourd’hui. Admettons qu’il est alors bien difficile d’accepter l’aide médicale du même peuple qui aimait voir l’Africain mourir, le système scolaire de ceux qui aimaient réécrire l’histoire en leur faveur, l’aide de ces gouvernements impérialistes qui ne désirent que piller le sol et les sous-sols des terres africaines, tout en laissant le peuple dans la soif, la famine, la pauvreté, la nudité et la mort.
Depuis toujours, l’Afrique est une cuisine, un laboratoire d’expérimentations en masse visant à détruire la vie des enfants du peuple (mutations génétiques, infections, virus, stérilisations, etc.), élaboré par des firmes pharmaceutiques privées bien connues, par des sections militaires ; par des maladies infectieuses qui trouvent ressources financières chez des multinationales obscures de la planète.

“ Et même, l'Éternel fera venir sur toi, jusqu'à ce que tu sois détruit, toutes sortes de maladies et de plaies qui ne sont point mentionnées dans le livre de cette loi. ” [Deutéronome 28 : 61]
Pendant que les Africains cherchent tant bien que mal à trouver des voies et moyens de s’en sortir et de se défaire de ces chaînes invisibles macabres découlant du néo-colonialisme de la politique extérieure imposée par un gouvernement mondial impérialiste, qui les prive des clefs de ce monde, laissés en héritage; en même temps dans d’autres cieux on établit des projets pour effacer la nation noire de la carte.

Vaccin instauré par l’OMS

Il est important de préciser qu’en Occident pratiquement tous les pays vaccinent bien contre le tétanos, sans tenir compte du calendrier vaccinal des enfants, les vaccins contre le cancer du col de l’utérus ou encore les vaccins contre la méningite, les vaccins saisonniers, etc.
Cependant, c’est via un communiqué, que l’association des médecins catholiques du Kenya révéla la découverte d’un antigène dans un vaccin, instauré par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’UNICEF, et pourtant administré à près de 2,3 millions de femmes et de filles. Ce vaccin aurait provoqué de nombreuses fausses couches.
Notons que l’OMS ou encore l’UNICEF représentent des organisations censées apporter des solutions pour la santé auprès de la population d’Afrique mais se révèlent justement divulguer l’arme de destruction de la nation noire.

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“Nous avons envoyé six échantillons provenant de partout au Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont été testés positifs pour l’antigène HCG”, précisais le Dr. Muhame Ngare du Mercy Médical Centre à Nairobi. Et le 4 novembre 2015, c’est en qualité de porte parole de l’Association des médecins catholiques au Kenya, que le Dr. Ngare explique dans un bulletin “ Cette campagne de l’OMS n’est pas d’éradiquer le tétanos néonatal, mais c’est un exercice bien coordonné de stérilisation de masse avec un vaccin qui régule la fertilité. Cette preuve a été présentée au Ministère de la Santé avant le troisième tour de vaccination, mais elle été ignorée ”.

Tout ceci soulève moult interrogations. Pourquoi une tel rancoeur manifestée à l’égard du peuple noir ? D’autant plus que les fonds utilisés pour la mise en place d’un tel vaccin pourraient bien servir à palier d’autres problèmes dans le monde. Encore et encore, on cherche et recherche la raison pouvant expliquer un tel élan de destruction contre un continent censé être la mère de l’humanité; celle-là même qui a donné naissance à la civilisation et même au progrès.
Quand on pense à l’Egypte antique et aux célèbres citations de brillants philosophes comme Le Comte de Volney (1757-1820) qui dans son ouvrage “ Voyage en Egypte et en Syrie ” affirme en pleine période esclavagiste : “ (…) ayant visité le Sphinx et voyant cette tête caractérisée de nègres de l’espèce de tous les naturels de l’Afrique (…) Penser que cette race d’hommes noirs, aujourd’hui notre esclave et l’objet de nos mépris, est celle-là même à qui nous devons nos arts, nos sciences et jusqu’à l’usage de la parole ”.

Voilà la vérité que Volney déclara au sujet de l’Afrique à l’époque esclave. Le philosophe fut marginalisé par ses pairs, ne soupçonnant guère que bien des années après, ces mêmes esclaves sauveraient la France d’une guerre, qui ne serait même pas la leur. Mais malgré ce geste, ils ne seront, hélas, reconnus comme héros, mais au contraire, seront encore et toujours, rejetés, effacés de l’histoire. Voici là une vérité que nos enfants n’étudieront pas à l’école. Un peuple, qui pourtant, a plusieurs fois dans l’Histoire été puissant, n’allant jamais à commettre des crimes contre d’autres peuples jusqu’à tuer toute une génération, à l’instar des amérindiens, s’il ne faut citer qu’eux.

Il est difficile, alors, en ce jour de comprendre pourquoi tant de plans machiavéliques pour éradiquer le peuple noir. Pensez-vous que cela est exagéré ? Mais sachez que ces dernières informations donnent des frissons dans le dos. Bien que le sujet eut déjà, sans doute, fait la Une d’autres journaux, il est crucial de le rappeler, pour informer ceux qui ne le savaient pas ou rappeler à ceux qui avaient oublié et encore pour nous permettre de savoir comment orienter nos prières et trouver des solutions, car les temps dans lesquels nous vivons ne présagent rien de bon.

Il est évident, certes, que les Africains ont tout d’abord un grand travail à faire avec eux-mêmes, à savoir définir la perception qu’ils ont d’eux-mêmes; effacer toutes sortes de barrières mentales et physiques comme les voiles pour les empêcher de se voir tels des frères et par la suite les frontières psychologiques, plus précisément les pseudonymes auxquels ils s’identifient comme : Ethiopien, Malien, Ivoirien, Camerounais, Soudanais, Congolais, etc. Qui leur font penser qu’ils ne font pas partie d’une seule même famille, d’une même source : l’Afrique! Car ceux qui veulent voir l’Afrique détruite adoptent comme devise : « diviser pour mieux régner ». Ils s’y emploient depuis des années; sur cette idée qui a engendré en Afrique des guerres, meurtres, crimes, génocides, viols, corruptions, pillages…

Mais il est clair que pour l’Afrique le seul cheminement vers sa rédemption, est de reconsidérer sa source et mettre Dieu avant tout chose. En cela, découlera la justice, le pardon, la bienveillance, l’amour, le respect de ses propres enfants et enfin l’unité qui fera leur force dans l’avenir.br /> Quant aux prédateurs, il faut savoir comme disent certains : “ on ne cueille pas le fruit du bonheur sur l'arbre de l’injustice”, car tôt ou tard d’autres, de leurs générations, finiront par le payer. Chose qu’on ne leur souhaite pas, car il est avantageux pour eux de se repentir et de demander la grâce et la miséricorde de Dieu.

“ Mais je jugerai la nation à laquelle ils seront asservis, et ils sortiront ensuite avec de grandes richesses. ” [Genèse 15: 14]

La Rédaction

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