Je meurs dans ma chair Introduction
Cher journal, Il est bien plus agrée et allégeant en soi de vivre sous la couverture et caché dans la chair incorruptible de...
Dans le profond du silence de la solitude, est-ce vraiment toi le seuil d’une lumière qui surmonte l’obscurité ? Mon ami fidèle, est-ce toi la lumière qui brûle toujours ? Entends mon appel ! C’est si douloureux, de prétendre que tout va bien, mais en réalité au fond de nous-mêmes, on ressent les choses différemment, on ressent que les choses sont chamboulées, chambardées et on se demande pourquoi ?
Et pendant longtemps, on refusait d’accepter, qu’on commençait à s’habituer à notre état déplorable au fond, et personne autour, ne pouvait remarquer quoi que soit, tellement floués par notre sourire, mais au fond tu sens que la vie est sans but ; cela nous pèse car il n’y a aucune lumière. Les écritures sont une lumière et prodiguent la simplicité de leur connaissance, elles demeurent tel… et nous disent que tout ira mieux dès lors que nous croyons, alors que tu ne vois aucune issue, et tu te demandes pourquoi et comment ? En même temps, tu luttes pour maintenir ce geste d’un visage souriant, même si cela est postiche. Mais on craint d’affronter cette réalité avec foi, car elle vient révéler ton malheur, ton insuffisance, et c’est bien là d’où vient l’adjuration auprès de Dieu, pourquoi mon Seigneur ?
Cela fait mal, tellement mal, qu’aucun mot ne peut l’expliquer, car plus rien ne reste à explorer, dans le quartier de son âme, c’est cette sensation qui vous pousse à remuer de sombres pensées, à tourner en rond et ne savoir où aller ! Les raisons de poursuivre un but inconnu sont aussi celles qui révèlent, qui relèvent au fond une de ces raisons qui s’est égarée dans l’inattendu. Mais au plus profond de son âme, on sait que l’ami fidèle est toujours là, quelque part, et qu’il n’est pas sourd à notre appel, pour nous relever, rétorquer hé bien ! Car on sait que c’est lui, le seul que nous ne pouvons berner par notre sourire floué, le seul qui connaît notre cœur, l’unique et le véritable qui peut réparer une vie fracturée.
On l’appelle ! On fait appel à sa libération, on veut crier : libère-moi ! Délivre-moi ! Aide-moi ! Soulève-moi ! Prends-moi dans tes bras et conduis-moi, je veux marcher avec toi, je ne désire plus de souvenirs sans toi, ni de pensée en dehors de la tienne ; Que ta volonté soit faite en moi, et surcroît au-dedans de mon moi inférieur. Cher journal, Nous sommes persuadés d’être plus d’un à avoir déjà été confrontés à tel ou tel préjugé à notre propre regard. Nous témoignons à toi, en Dieu nous trouvons notre repos. A Dieu ! Sans toi c’est la chute, sans toi, il n’y a aucun espoir, sans toi, il n’y pas de vie, sans toi, il n’y a pas de vérité, sans toi, il n’y a pas de lumière, sans toi, il n’y a aucun chemin, sans toi, nous sommes vides, sans toi, nous ne sommes absolument rien du tout.
Nous ne pouvons vivre sans Dieu, c’est une certitude, c’est un fait ! Celui qui entend notre appel; et qui guide nos cœurs. Car dans le profond du silence de la solitude, est-ce vraiment lui le seuil d’une lumière qui surmonte l’obscurité ?! Notre ami fidèle, est-ce lui la lumière qui brûle toujours ?! Il entend notre appel, c’est bien lui le seuil de la lumière qui surmonte l’obscurité. Nous voulons alors, élever notre voix et plaider à lui. Entends notre appel dans l’obscurité du profond des silences de la solitude !!!
Merci chers amis, nous voulions partager ce message avec vous, nous espérons par l’esprit de Dieu, édifier un coeur, et conduire le regard d’un d’entre nos frères & sœurs à faire appel à Dieu, personne d’autre.
A bientôt sur Artistes Press.
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Il y a deux ans de cela, j’essayais de mettre les mots sur ce mal-être qui me rongeait jour après jour et de répondre à cette question que mon entourage me posait sans cesse : Comment va mon âme ? Le cœur lourd et serré, lorsqu’il était difficile pour moi de parler de ce mal-être, l’écrire l’était également. Il m’a fallu un grand soutien et un puissant encouragement auprès de mes frères et sœurs pour me lancer dans ce récit. Pire encore faire ce qui me paraissait impossible de faire. Sans réaliser réellement ce que je m’apprêtais à faire, avec mes faibles mots, je titubais pour exprimer mes pensées, mon sentiment.
le chapitre deux : CONFRONTATIONSubscribe to our monthly newsletter and get the latest news from Kant. You can unsubscribe at any time.