Leader trash des FEMEN, Sara Winter demande pardon aux chrétiens

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« Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » [2 Corinthiens 5:17]
C’est le cas du sujet de cette actualité. Cette information, publiée le 29 décembre sur le Blog de Jeanne Smits fit le tour de la presse écrite mais surtout les gros titres des journaux de presse chrétienne. La raison est la suivante. Il y a trois semaines, se tint une repentance médiatique des plus inattendues, provenant d’une des personnalités publiques qualifiées de Trash, si l’on puit dire ; Sara Fernanda Giromin alias Sara Winter, créatrice du mouvement des Femen aux Brésil et Bastardxs, une organisation militant pour la pro-bisexualité, mais aussi farouche partisane du droit à l’avortement. Ces deux mouvements, nés à son initiative avaient pris pour cible le christianisme, croyance principale du Brésil, jugée par ces activistes comme étant un frein à l’émancipation de la femme, et aux droits à la liberté sexuelle.
Le leader, aujourd’hui repentie, présenta ses excuses aux chrétiens pour les démonstrations de protestations insultantes de ses organisations extrémistes, dénigrant volontairement la foi de millions de croyants. Elle a choisi de s’exprimer via sa chaine Youtube Sara Winter, dans une vidéo intitulée : « Peço perdão aos Cristãos pelo protesto feminista » (Je demande pardon aux Chrétiens pour mes protestations féministes).

Ce n’est pas une chose facile à faire, mais je demande pardon aux chrétiens pour nos protestations féministes… Nous sommes allées trop loin.

Il est important de comprendre les raisons de son statut de combattante féministe. Née en 1992, Sara Winter entra dans le réseau de la prostitution dès son adolescence. Cherchant de l’aide pour en sortir, elle sera en relation avec une jeune universitaire féministe, pensant certainement que ces valeurs pourraient l’aider, mais elle se contenta de féliciter son courage. Une rencontre qui fut certainement l’élément déclencheur de la création du mouvement des Femen au Brésil, en 2012. Une énorme erreur. Sara Winter finit par perdre le contrôle de sa propre organisation, découvrant des vices insoupçonnables qu’entretiendraient ses membres. Elle sera témoin du pouvoir destructeur qu’engendre l’idéologie des Femen. Pensant avoir trouvé le moyen de s’émanciper et se débarrasser des chaines de la prostitution, Sara fut à nouveau enrôlée dans des addictions les plus perverses, allant de rapports sexuels non consentis avec des inconnues mais aussi, la consommation de drogue. De plus, elle avoua avoir été molestée par une lesbienne féministe, dans son premier ouvrage « Vadia não ! Sete vezes que fui traída pelo feminismo » (Pas une catin ! Sept fois trahie par le féminisme). Encore pire, les Femen entretiendraient des réseaux de vices encore plus pernicieux.

J’ai vu le mouvement féministe couvrir des faits de pédophilie et persécuter des femmes… Je suis témoin que pour les Femen, les femmes n’ont aucune importance mais ne servent que de carburant pour alimenter le feu haineux de la secte féministe.

C’est en 2013 que Sara Winter finit par se retirer de ce combat, qui se voulait être un émancipateur des femmes. Une hérésie, selon l’ex-leader. Quittant les Femen, elle s’engage alors dans la création d’un nouveau mouvement, qui fera tout autant de tapages et de représentations publiques aussi dénudées, cette fois-ci le fameux Bastardxs. Offensant les croyants par leurs photographies mythiques se voulant provocatrices tel que ce baiser que la jeune femme échangea sur la croix avec une autre militante, sein à l’air. Une photo blasphématoire insultant le Christ pour de nombreux croyants, qui méprise les chrétiens du monde entier. Cet acte d’antéchrist pour bien des croyants, amusa la communauté LGBT du Brésil. Créant un tollé médiatique, l’image deviendra LE symbole de la communauté homosexuelle, bisexuelle et trans-genre du Brésil. Cependant, là encore, un revirement de situation. Sara ne se sentirait pas à sa place, se forçant à adopter des attitudes ou orientations différentes pour s’imposer et se faire accepter en tant que leader.
« Les lesbiennes et les « bi » sont les mieux vues au sein du mouvement : « A mesure que les jours passaient, je déconstruisais mon hétérosexualité et j’y substituais une bisexualité artificielle ».
Sara finira à nouveau par quitter sa propre organisation, rejetant au passage l’idéologie du genre, une idéologie obligatoire pour faire partie de ce mouvement, précise le blog de Jeanne Smits, qui consacra un article à ce sujet, intitulé Sara « Winter » Giromin, Femen repentie au Brésil, dénonce le féminisme et l’avortement et s’excuse auprès des chrétiens. Elle qui considère aujourd’hui ces mouvements féministes comme étant une « secte » qui utilise les femmes comme des objets, fait la promotion du lesbianisme et couvre même la pédophilie parmi ses rangs, pouvons-nous lire dans l’article.

Sara Winter, en pleine voie de restauration

Un Volte-Face digne d’une intervention divine. Et ce fut le cas. C’est auprès d’une femme plus âgée, réputée « conservatrice », « antiféministe », qu’elle a trouvé une oreille compatissante : cette femme l’avait traitée comme si elle avait été sa propre fille, poursuit l’article.
Regrettant profondément ses oeuvres passées, blasphématoires et offensantes, Sara Giromin reconnut être allé beaucoup trop loin.
En plus d’avoir été touchée par la grâce, elle serait devenue une militante Pro-Vie, mais aussi membre d’une organisation appelée Pro-femme, un tout autre mouvement féministe dont les valeurs et les idéologies vont à l’encontre du mouvement sectaire et rétrograde des Femen et des Bastardxs.

« S’il vous plaît, vous, ces femmes, qui cherchez désespérément à avorter, réfléchissez-y, faites attention. Je regrette énormément de l’avoir fait. Je ne veux pas qu’il vous arrive la même chose. Je me suis repentie d’avoir eu un avortement et aujourd’hui je demande pardon. Il y a un mois hier que mon bébé est né et ma vie a un sens nouveau. J’écris ceci pendant qu’il dort sereinement sur mes genoux. C’est la sensation la plus extraordinaire du monde. »
Une maternité qui changea totalement son regard sur la féminité et ses principes d’antan. Celle-ci adopta un tout autre langage depuis sa conversion. Attestant faire des progrès dans sa vie spirituelle, c’est accompagnée de Maria Lobo, une psychologue évangélique, que la jeune militante, dorénavant en Christ assure des conférences pour dénoncer ce qui fut ses combats d’antan, le féminisme, l’idéologie du genre et le marxisme culturel. Gloire à Dieu !

« Jusques à quand seras-tu errante, Fille égarée? Car l'Eternel crée une chose nouvelle sur la terre: La femme recherchera l’homme. » [ Jérémie 31:22 ]
A la quête d’une réponse ne se trouvant qu’en l’Eternel, ce ne fut qu’en la personne du Fils de l’Homme, Jésus-Christ, que la jeune femme trouva des réponses qui transformèrent sa vie, la conduisant des ténèbres à la lumière.

La Rédaction

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