Une exhortation écrite par Yannick NILA

L’année 2017, saison des cyclones selon les prévisions de la NOAA. La National Oceanic and Atmospheric Administration, avait émis en mai 2017 un avertissement concernant l’afflux de cyclones, prédisposés entre le mois de mai et novembre, par divers facteurs climatiques de l’Atlantique Nord. Toutefois, le premier ouragan, nommé Arlène eut lieu de manière précoce, au mois d’avril 2017. En tout, une vingtaine de cyclones plus ou moins de grande intensité furent recensés par l’organisme.

« Il est difficile de faire un point à l'heure actuelle. Il y a des inondations et des toitures envolées, dont celles de certaines casernes de pompiers. Il y en a encore pour plusieurs heures. Il faut rester chez soi ! Dès que possible, les pompiers sortiront faire les premières reconnaissances »

Après les ouragans Harvey, Irma puis José, voici Maria, la plus dévastatrice selon les prévisions. S’attaquant principalement aux îles Françaises, elle a atteint la Guadeloupe vers 3h du matin heure locale, soit à 9h en métropole. Mais contrairement aux prévisions, le typhon, placé en catégorie 5 vient de descendre à 4 et montrerait des signes de faiblesse. Toutefois, bien qu’il perde en intensité, il ne faut le sous-estimer pour autant. Car ses vents ont été mesurés à « 160 km/h à Pointe Noire, 148 km/h à Baillif et 125 km/h à Raizet », écrit l'observatoire Keraunos. Les îles fortement touchées par l’ouragan précédent devraient une nouvelle fois subir des débris. Selon Météo France, Saint-Martin et Saint-Barth sont frappés de rafales de plus de 90km/H depuis ce matin, et auront des pluies très abondantes. Les rafales de vent passeront de 90 km/h à 120 km/h, cet après-midi et demain.

Ce n’est plus une hérésie, nous sommes bien dans les temps de la fin. Et, que l’on soit croyant ou non, au vu de la situation actuelle de l’humanité, bon nombre ne douteraient plus de cette vérité. L’humanité est en phase terminale, la terre semble s’épuiser au premier regard. Cela ferait suite aux exactions des Hommes, qui n’hésitent pas à l’exploiter à outrance, au risque de dérégler le climat.
Certes, la nature se déchaine, via ces ouragans successifs et dévastateurs, et on vient, par conséquent, à se demander si ces œuvres de la nature, sont réellement une conséquence des Hommes, ou alors une création. Ces ouragans, seraient-ils une nouvelle arme de guerre testée par les puissants, un moyen de créer le chaos dans une partie du globe, pour par la suite mettre des structures en place afin de générer de la richesse financière ? Est-ce là également, un moyen pour les puissants d’assouvir une partie du globe, ravagée par les vents, pour des raisons qui leur sont propres ? Nous n’en saurons certainement davantage, mais ces successions d’ouragans ne sont certainement pas fruits du hasard ou des circonstances.

« Voici venir, de la part du Seigneur, un homme fort et puissant, Comme un orage de grêle, un ouragan destructeur, Comme une tempête qui précipite des torrents d'eaux: Il la fait tomber en terre avec violence. » [Esaïe 28 v.2]

Et s’il s’agissait là d’un jugement de Dieu ? L’annonce du retour de Jésus-Christ ? En effet, la parole de Dieu fait maintes fois allusion aux catastrophes climatiques déversées par le Père pour se manifester ou faire asseoir son jugement sur la terre. Le livre de l’apocalypse décrit en long et en large les cataclysmes les plus effrayants qui ont eu et auront lieu sur la terre.
Ainsi, ne connaissant ni le jour ni l’heure de notre mort ou du retour du Seigneur, veillons et prions. Afin que lorsque viendra son retour, notre âme trouve le véritable repos entre les mains de notre créateur, notre Seigneur Jésus-Christ. Et qu’adviennent les ravages de la nature voire la mort, nous soyons néanmoins sauvés et épargnés en Christ-Jésus.

Que le Seigneur veille sur ces populations sinistrées et que leur soit apportée cette Bonne nouvelle de l’Evangile.

Wissa KOLOLO

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