Brésil: de la peau de Tilapia pour soigner les grands brûlés

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

Toute la création de Dieu est parfaite, ce n’est point un slogan! Alors que l’industrie pharmaceutique est saturée; des médicaments et génériques, propice à condamner la vie de nombreux malades, la nature, elle depuis toujours, vient en remède aux Hommes.

L’argile par exemple, aux propriétés riches et surprenantes. Verte, blanche, rouge, rose etc, possède des vertus à en soigner bien des maux. Soulignons qu’à ce jour, l’argile verte s’avère être une énigme pour le monde scientifique, reconnaissant ses actifs, mais ignorant son mode d’action. Excellent produit de soins et cosmétique, elle est connue pour ses vertus réparatrices, désinfectantes et cicatrisantes.
Jésus-Christ remède par excellence, fit d’ailleurs un clin d’oeil, à cette pratique de soin ancestrale. Ne dénaturant pas pour autant son caractère divin, il utilisa la terre et sa salive pour créer un cataplasme. Et l’appliqua sur les yeux d’un aveugle-né pour lui rendre la vue [Jean 9 v.1-41]. Dans l’histoire des soins et de la santé des civilisations, l’argile ressort comme étant l’électuaire miracle, pour soigner les blessures, entretenir son corps, calmer les douleurs… Mais voilà, la médecine douce s’avère être sans limite. Tant par la richesse de la diversité de la nature, que par les propriétés médicinales qu’elle contient.

La peau de Tilapia, nouveau bandage pour soigner les brûlures

À l’heure des grands progrès scientifiques, la médecine naturelle n’est point en reste. Soigner et cicatriser les brûlures, par la peau… de Tilapia. C’est aujourd’hui possible. Toutefois ne vous emballez pas! Il ne s’agit pas d’enlever la peau des Tilapia achetés chez l’Indien. Technique révolutionnaire, cette peau subit plusieurs traitements pour tuer tout virus existant, avant son application sur la plaie.
Cette innovation nous vient du Brésil. Dans le cadre d’un essai clinique à l’institut José Frota, au service des grands brûlés, la peau de Tilapia est utilisée, comme compresse pour ses vertus exceptionnelles. Les 50 patients cobayes en sortent satisfaits, sans aucune complication au cours de leur traitement, rapporte le Figaro.

« En étudiant la peau du poisson, nous avons été surpris de voir la grande quantité de collagène de type 1 et 3 qu’elle contenait, bien plus que dans la peau humaine ou dans d’autres types de peaux. Nous avons également découvert que la résistance de la peau de tilapia est plus grande que celle de la peau humaine, de même que son degré d’humidité. Elles empêchent les contaminations et préviennent la sécheresse ainsi que la perte de protéines. De plus, elles restent collées à la plaie jusqu’à la guérison», atteste le Dr Edmar Maciel, spécialiste en chirurgie plastique et réparatrice.

Plus exactement, les peaux de Tilipia sont posées à même la plaie. Elles s’imprègnent alors dans la blessure et forment une barrière naturelle très efficace contre les risques d’infections. Accélèrent le processus de guérison, assurent une hydratation de la peau du patient et calment les douleurs. Aucune plaie n’échappe à ses vertus réparatrices. Pour exemple concret, les brûlures superficielles du second degré telles que les rougeurs ou les cloques, cicatrisent entre 9 et 11 jours. Changées moins régulièrement qu’un bandage classique, ses propriétés réparent également en profondeur. Allant jusqu’à soigner les terminaisons nerveuses, vaisseaux sanguins rongés par les brûlures types second degré. Dans l’attente d’un résultat positif à la fin de l’essai clinique, les médecins brésiliens espèrent avoir suscité l’intérêt d’une entreprise. Qui s’engagera à commercialiser des peaux de Tilapia pour leur système de santé.

Que devons-nous conclure, le miracle réside-t-il dans la nature, ou une part de Dieu demeure-t-elle dans cette nature? Regorgeant de secrets cachés et inconcevables, selon notre pauvre intelligence humaine et limitée. Car s'il y a bien une chose extraordinaire, l’Éternel Dieu, créa le ciel et la terre, et tout ce qui s’y trouve. Chacune de ses oeuvres renferme des mystères incroyables. Ainsi, l’environnement créé pour ses créatures, mais hélas, détruit et exploité à mauvais escient par des motivations malsaines, n’a toutefois, pas révélé toute sa richesse. Une richesse dont les Hommes, obnubilés par l’argent et le pouvoir, ne se préoccupent que de peu. A contrario, ils s’acharnent à transformer ou créer en synthèse des ingrédients, composants, matières qui ont fait leurs preuves. Pour en générer des gains financiers conséquents. Quitte à sous-entendre au grand public, les réels risques et effets secondaires qui peuvent survenir.

Aussi bien que l’Homme s'est détourné de son créateur et de ses riches bienfaits, il décida dans sa fourberie de se mettre à dos, la contemplation de la nature et la recherche de tous ses avantages. Ainsi, se refuse-il à observer ou reconnaître la grandeur de Dieu? En reniant la beauté si large et polyvalente de sa création. Afin de demeurer dans l’ignorance que l’homme scientifique n’a lui aussi pas de limite. Une pure hérésie, car sa limite s’arrête où son incompréhension commence. L’univers est cette nature qui nous enseigne, témoigne des richesses de Dieu.

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La Rédaction

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