À Toulouse, dans le quartier de roseraie, une bombe artisanale a été trouvée sur le parvis de l’église Saint-André. La découverte effrayante datant du jeudi 8 décembre, n’a été révélée au public qu’une semaine plus tard, le jeudi 15 décembre 2016.
Le dispositif explosif se présentait sous une boîte à la taille d’un carton à vin.
Caché, il était constitué de deux bouteilles d’allume-feu, reliées par du fil électrique.
De plus, des “petit cubes d’allume-feu piqués par les cierges magiques pour anniversaire
étaient collés aux deux bouteilles.”
Les sources policières ont confirmé en effet, l’objectif de cet engin artisanal, mettre
le feu. De plus, elles ont remarqué que les bougies étaient consommées sans que leurs étincelles
ne déclenchent le dispositif. Plus de peur que de mal, les policiers ont alors évacué les
lieux et ramené cette menaçante boîte au poste de police. Par la suite, les démineurs et
les pompiers sont intervenus. Encore heureux, personne ne se trouvait à l’intérieur de l’église.
Des questions se posent alors. Est-ce un acte terroriste ou plutôt des jeunes qui souhaitaient
faire leurs intéressants? Pour l’un comme l’autre, c’est une pensée bien cruelle ! Une enquête
a donc été ouverte. Néanmoins, pour plus de précaution, le préfet de Haute-Garonne a donc
demandé à toutes les autorités religieuses de rester vigilantes en cette période de fêtes.
Une période qui depuis un certain temps est devenue synonyme tant de joie que de douleur. Et
l’Eglise demeure une cible de choix pour les bourreaux. Mais doit-elle pour autant se
positionner en victime ou bien alors affronter les épreuves, les menaces, armée du Nom de son
Seigneur ? Un combat qui nous rappelle celui des apôtres d’antan. Qui, menacés de toute part,
n’ont au péril de vie, courbé l’échine devant l’opposition du monde, confiants de la récompense
merveilleuse dans l’éternité. Mais en vaillants héros ont bravé l’interdit des Hommes poursuivant
leur mission pour le Royaume. C’est alors que l’épreuve devient sujet de joie.
Rappelons-nous, frères, que si le monde n’a aimé ni accepté notre Maître et sa Lumière, comment
accepterait-il son Eglise ? Le message de Christ s’interposant à ses oeuvres malveillantes.
De ce fait, rendons grâce à Dieu qu’un évènement si tragique ait pu être évité, préservant
ainsi les croyants de la paroisse comme les riverains.
Car nous savons du reste, pour ceux qui ont leur foi en Christ qu’il nous est un refuge certain
qu’à l’abri du Très-Haut qui “ordonnera à ses anges de nous garder dans toutes nos voies”
[Psaumes 91 v.11]. Ainsi, le Seigneur écarte le danger de nos pas et nous garantit la sécurité.
Une valeur sûre pour nous, qui sommes pèlerins ici-bas, dans un monde étranger et se dirigeant
à l’encontre des valeurs du ciel.
C’est un miracle, qui nous pousse à reconnaître encore et toujours, et ce, ensemble, l’amour
de notre divin Père. A cette société meurtrie, ouvrez vos coeurs et en ces temps de tribulations,
approchez-vous de Jésus-Christ, seule réponse à vos maux et seul abri face à la terreur.
A l’Eglise, prions pour cette nation, qui s’engouffre, loin de son créateur, dans l’insécurité et la mort.
La Rédaction
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