Partie 1 - Si nous le savons alors nous sommes heureux !

La ruine déplorable de notre société a pour origine le penchant de son raisonnement. Nous possédons nos règles, notre monde a ses principes, notre chair a sa volonté et ses désirs. Les générations sont programmées pour le désordre et la souffrance, puisqu’elles ne croient pas, elles ne savent pas, et si elles ne savent pas, alors elles se contentent d’idées fantaisistes pour un bonheur imparfait, et demeurent malheureuses.

Cher Journal, toutes les situations des générations, toutes les éventualités, chaque prédominance, ont déjà été anticipées par notre Dieu, notre créateur, si nous le savons alors nous sommes heureux. Dieu sait, il savait, il a tout su et tout prédestiné pour le bien-être de ses bien-aimés, car avant que tout soit, il “fut”. Notre Dieu agit dans la discrétion et n’oeuvre point dans la contradiction, il fut, il vient vers moi, vers toi, dans notre ville sans jugement ; Il nous désigne et il entre chez nous.
Le Seigneur regarde nos intentions, il les connaît, et si nous le savons, nous sommes heureux. Bien souvent quand nous sommes entre deux flèches de jugement, les gens nous jugent sur les choses que nous avons dites, ou faites, mais en réalité, ou dirais-je au départ ce sont des choses pour lesquelles nous ne pensions même pas en arriver là ! Pourtant la vision meurtrie de la société nous a méchamment brutalisés vers ses eaux de perte jusqu’à sa ruine rancunière.

Même s’il arrivait que nous ayons commis un acte qui laisse croire au monde qui nous enrobe que nous sommes méchants, personne ne peut voir cette frontière du bien et du mal, la frontière qui sépare ce que nous avions voulu faire de bien au départ, que nous n’avons pu faire à cause du péché originel qui enrobe chaque individu dans notre société, dans le temple des dieux, dans les mosquées, dans les entreprises, et cela jusqu’à l’église du Seigneur. Mais notre Dieu sait, ce péché qui nous traque, durant des générations, il nous met tous à genoux tous les jours, sans tenir compte de notre rang social. Au seuil des oppressions et la fatalité, nous devons savoir une chose : Dieu sait, il savait, il a tout su, et prit de grandes dispositions pour nous. Parce que c’est la paix que Dieu nous garantit auprès de lui-même, la paix même dans la souffrance, car si nous croyons, nous savons, nous avons une belle ancre, et nous mettons le cap pour naviguer jusqu’à lui, pour qu’enfin nous soyons son salut dans le lieu de sa demeure. Si nous le savons alors nous sommes heureux.

Son salut nous a prédestinés, il est venu vers nous dans notre pays, dans notre ville, dans notre village. Et n’est-ce pas qu’il est mieux de recevoir un conseil avant le départ, qu’après ?! Comme je l’ai bien souligné plus haut, certaines de nos situations ont déjà été anticipées par notre Dieu, notre créateur, il nous donne une feuille de route, c’est la paix qu’il nous garantit auprès de lui-même, en lui, la tranquillité face à l’oppression et la fatalité, face à la vision meurtrie de la société et sa brutalité.

« Si quelqu'un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. » Matthieu 5:41

« Si quelqu'un te frappe sur une joue, présente-lui aussi l'autre. Si quelqu'un prend ton manteau, ne l'empêche pas de prendre encore ta tunique. » Luc 6:29

Je vous exhorte Frères, si l’un de vos frères vous prend votre veste, donnez-lui aussi la chemise et une cravate qui va avec ! Ne lui résistez pas. Et s’il vous déteste ne l’interrompez pas, car ceux qui vivent dans le noir s’enfoncent encore et encore dans l’obscurité de telle sorte qu’ils défendent même le mal qu’ils infligent aux autres. Soyez sereins car le Seigneur ne vous a pas donné un esprit d’égarement pour vous faire toujours tomber sur les mauvaises consciences, mais vers les mauvaises consciences c’est la mission, là où l’obscurité règne c’est notre mission pour éclairer, annoncer l’évangile d’unité et de la rétribution de la justice et de la vie éternelle, venue, donnée par Jésus-Christ qui est la lumière de Dieu incarnée dans le monde.

Cher journal je disais, la ruine déplorable de notre société a pour origine le penchant de son raisonnement. Nous possédons nos règles, notre monde a ses principes, notre chair a sa volonté et ses désirs. Les générations sont programmées pour le désordre, et la souffrance. Et puisqu’elles ne croient pas, elles ne savent pas, et si elles ne savent pas, alors elles se contentent d’idées fantaisistes pour un bonheur imparfait, et demeurent malheureuses. Or l’église du Christ est un savoir et un devoir, pour le bon accord, un savoir pour la perfection des saints. Si nous le savons alors nous sommes heureux.

« Mais Zachée, se tenant devant le Seigneur, lui dit: Voici, Seigneur, je donne aux pauvres la moitié de mes biens, et, si j'ai fait tort de quelque chose à quelqu'un, je lui rends le quadruple. » Luc 19 v. 8

Par Yannick NILA - A suivre !!!

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