Une race de géant, comme le cite la bible, aurait existé
Une légende, un mythe, c’est bien ce que nous ont enseigné nos écoles et nos parents concernant l’existence des géants. Chaque continent possède d’étonnantes histoires avec ces hommes impressionnants par leur taille surdimensionnée.
Rares sont les exemples d’hommes de notre temps ayant atteint plus de deux mètres de hauteur. Robert Wadlow (1918-1940) né à Atlon dans l’Illinois, surnommé par ailleurs le géant d’Atlon était un spécimen exceptionnel mesurant 2,72 mètres pour 199 kg. Mort à l’âge de 22 ans suite à une infection médicale, son corps était toujours en phase de croissance. Son développement exceptionnel serait dû à l’hypertrophie de son hypophyse, ce qui engendra une production et un niveau d’hormones de croissance, anormalement élevé. Enregistré dans le livre Guinness des records, Sultan Kösen, originaire de la Turquie serait actuellement l’homme le plus grand du monde, mesurant 2,51 mètres.
Tout comme l’existence des dinosaures n’est plus à démontrer - éradiqués de la terre par la collision
de météorites - des reliques de géants se laissent peu à peu découvrir par les chercheurs.
Aussi surprenant que cela puisse être et au même titre que ces animaux géants, leurs dépouilles sont
éparpillées dans le monde entier. Des ustensiles extraordinairement grands, témoignent de leur mode
de vie civilisé et de leur intelligence très développée, aussi développée que la nôtre pour certains.
« Dans la province d’Agadir, on aurait mis à jour un atelier d’outils préhistoriques vieux également
de 3000 siècles. Parmi d’autres objets, il y avait des bifaces qu’on employait à la main. Or ces bifaces
pèsent 8 kg et leur préhension exige un écartement de doigts qui n’est possible qu’à un géant d’au moins
4 mètres », déclarait Robert Charroux dans « Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans ».
D’après l’histoire de David et Goliath, le jeune adolescent courageux n’eut besoin que d’un lance-pierre
pour terrasser ce monstre d’une hauteur de « six coudées et un empan » soit 2,90 mètres.
Dans l’évangile prêché au sein du corps du Christ, il est de coutume de comparer Goliath aux difficultés
de notre vie, tant il est difficile pour les croyants de notre siècle de croire en un éventuel homme
insaisissable de par sa force et sa stature. Pour rendre ce texte plus commun à tous, le héros des
Philistins représenterait donc les principautés démoniaques qui bloquent le chemin menant à nos bénédictions,
nous empêchant d’atteindre notre destinée.
L’image du futur grand roi David tuant son ennemi imposant et insolent devient pour nous une façon de
nous libérer de toute forme d’autorité contraire au plan Divin.
Et si Goliath, cet homme doté d’une force et d’une puissance grâce à ces attributs, avait vraiment existé ?
Qu’un jeune oint de l’éternel l’ai réellement vaincu ?
L’histoire prend un tout autre sens. De plus, nous découvrirons que l’ennemi qui maudissait et sous-estimait
le peuple élu de Dieu, n’était pas si impressionnant et menaçant qu’il prétendait être car en effet, des
hommes de plus de huit mètres ont vécu ici-bas.
Et si les premiers hommes étaient des géants ?
« Nous montrerons clairement que l’existence d’une race d’hommes gigantesques dans la période acheuléenne (période la plus ancienne de la préhistoire ) doit être considérée dès à présent comme prouvée scientifiquement », déclara le Docteur Louis Burkhalter dans la « Revue du Musée de Beyrouth ».Bien avant la naissance du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ jusqu‘à nos jours, des restes de corps
gigantisme sont découverts, surprenant davantage le monde scientifique et les historiens sur la richesse et
la diversité de l’espèce humaine. Uniquement en France, une vingtaine de dépouilles furent découvertes au
fil des siècles, dont les grandeurs les plus élevées seraient de 7,90 mètres environ. Plus étonnant encore,
on découvrit les restes de deux êtres humains bien distincts mesurant 11 mètres chacun, datant de la
civilisation Carthaginoise, une civilisation ancienne de la Méditerranée, découverte entre 200-600 Av J-C.
La dernière trouvaille en date s’est déroulée en septembre 2014, dans un chantier situé à Lille où un
squelette vraisemblablement appartenant au genre humain, d’une hauteur de 8 mètres a été retrouvé.
L’enquête révèle que cette entité aurait vécu il y a plus de 6000 ans.
Mais qui sont-ils vraiment ? Quelles sont leurs origines et la raison de leur disparition ?
Selon la Bible, la parole de toute vérité et de toute science, « lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent. Alors l'Éternel dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité »
{Genèse 6.1-4}On les appelait les « Nephilim » selon l’interprétation donnée à l’histoire du premier livre de la Bible.
Il s’agirait d’un peuple de géant né lorsque les anges déchus eurent des relations sexuelles avec des femmes
terrestres, d’où leur grande taille et leur physique d’Homme. Les « Nephilim » seraient en effet les ascendants
des Anakim et des Réphaïm.
« Et nous y avons vu les géants, enfants d’Anak, de la race des géants; nous étions à nos yeux et aux
leurs comme des sauterelles » {Nombres 13.33}.
Selon le livre de Baruch, un livre censé appartenir à celui de Deutéronome mais non reconnu par les
autorités religieuses Juives et Chrétiennes, les premiers hommes seraient une race gigantesque extrêmement
développée physiquement, artistiquement et intellectuellement mais leur mauvaise conduite entraina leur
extermination.
« […] Israël, combien grande est la demeure de Dieu, et qu’il est étendu le lieu de son domaine, grand
et sans fin, élevé, sans mesure ! Là naquirent les géants fameux des origines, à la haute stature et
connaissant la guerre. Ce n’est pas eux que Dieu choisit, il ne leur montra pas la voie de la science.
Aussi ont-ils péri faute d’avoir la prudence, ils ont péri par leur folie. »
Une autre théorie de l’élimination des géants est écrite par Pedro Cieza de Léon (1520-1554), un
conquistador Espagnol et chroniqueur historien du Pérou, rapportant l’histoire d’une invasion de
géants, recueillies auprès des indigènes de Santa Elena. Cette histoire se déroule dans l’actuel
Equateur : « (…) de la mer arrivèrent sur des bateaux de balsa et de paille aussi grands que des
vaisseaux des hommes si immenses qu’un homme ordinaire de bonne stature atteignait la hauteur de
leurs genoux. […] Comme ils n’avaient pas de femmes et que les indigènes ne voulaient pas d’eux à
cause de leur taille, ils pratiquaient la sodomie entre eux, sans honte ni crainte de Dieu… Les
Indiens affirment que Dieu leur infligea une punition appropriée à l’énormité de leur crime. Alors
qu’ils étaient ensemble, s’adonnant leurs pratiques homosexuelles, un terrible feu descendit du
ciel avec un énorme bruit, et il en surgit un ange resplendissant, une épée acérée et brillante à
la main. D’un seul coup, il les tua tous et le feu les consuma »
Une autre mythologie raconterait que leur mort serait dû à un terrible tremblement de terre.
La mappemonde regorge de trésors concernant la probabilité d’une race de géants. Malheureusement les historiens certifient qu’à l’heure où les vestiges de ces Semi-Dieu furent enfin sortis de la pénombre, des milliers d’années se sont déjà écoulées, leur existence n’est plus qu’un lointain souvenir inscrit timidement dans l’histoire de l’humanité. Reconnus comme étant des êtres orgueilleux par le témoignage des plus anciens, s’agirait-il bel et bien d’une volonté divine de les « effacer » de la terre pour les remplacer par les hommes de petite taille que nous sommes ? A l’aube du XXIe siècle, des multitudes de questions demeurent vraisemblablement un mystère à élucider.
Pensée
La pluie a cessé, elle s'en est allée. Les fleurs paraissent sur la terre, elles résorbent les eaux du ciel en un filtre évitant de flétrir. Le temps alors de chanter la gloire du Seigneur est arrivé; un chant empreint d’une grâce opiniâtre et comme le figuier embaume ses fruits, et les vignes en fleur exhalent leur parfum, je fais entendre ma voix du haut des cieux; et d'un cœur plein de joie, je t’apporte tout ce que je suis sur le rocher de notre amour.