Une mère complote avec un pédophile le viol de sa fille

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

Nous sommes face à une totale démence, où le mal est adopté sans remords, les limites dépassées. L’Homme se permet tout ce qu’il veut, croyant que rien ne peut le stopper, dans son absurdité, qu’il est maître de lui-même, de ses décisions. Il en vient même à vendre l’autre, un propre membre de sa famille, pour parvenir à ses fins.

Ce qui nous amène à l’histoire atroce de cette mère qui n’a pas hésité à sacrifier sa fille aux mains d’un pédophile. Nous sommes à Cardiff, au Pays de Galles. Le pervers en question se nomme Stuart Bailey. La police a déniché des messages que l’homme aurait envoyés à la mère, statuant sur le viol de sa propre fille. Celui-ci aurait proposé à la mère les sommes de 200 ou 300 livres, tout en planifiant, ensemble, le viol de la petite. Dans ces messages, à la teneur insoutenable, le pédophile questionnait la mère sur les tenues que portait sa fille. “Laisse-moi faire comme je l’entends”, “Est-ce qu’elle a une mini-jupe?”, “Qu’est-ce qu’elle porte? Son uniforme de l’école?”, ont pu lire les autorités comme le tribunal de Cardiff, lors du procès. Poussant le bouchon au-delà de toute moralité, la mère n’hésitait pas à droguer sa fille, à peine âgée de 7 ans, au moyen de somnifères, pour lui faire un shooting répugnant. Des photos nues de son enfant, qu’elle envoyait avec plaisir à l’homme.

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Par grâce, le conjoint de la mère découvrit le pot aux roses, et prévint les autorités. Le tribunal reconnaît les deux complices coupables de complot en vue d’un viol sur une enfant de moins de 13 ans, et décide de condamner Stuart Bailey à 13 ans d’emprisonnement. Ce dernier fut également reconnu coupable de distribution de pornographie juvénile et d’incitation à l’agression sexuelle d’un enfant.

L’ennemi n’est pas loin de chez nous

Cette histoire nous ébranle et laisse sans voix. Alors qu’aux quatre coins du monde, une femme sur cinq cherche désespérément à avoir un enfant, d’autres préfèrent les détruire. Des faits divers tels qu’une mère a vendu son bébé, ou un parent a tué son enfant, etc. inondent quotidiennement notre quotidien. Mais ces enfants, qu’ont-ils demandé? Ils en viennent à se retrouver victimes de situations compromettantes et dangereuses. Les parents censés remplir leur rôle de protecteur, les exposent, les sacrifient, au détriment de les conseiller, éduquer, accompagner et soutenir dans l’amour. Bénédictions de Dieu, ces enfants sont réduits au statut d’objets. La famille n’est plus le refuge d’antan.

L’amour est alors inexistant dans le coeur de l’Homme, qui s’attache aisément au matériel. Et nul n’est à l’abri ! Il en oublie l’existence de son prochain, allant même aux membres de sa propre famille. Dans cette indifférence, beaucoup se retrouvent enfermés, méprisés, violentés et délaissés, par des parents qui fuient leurs responsabilités. Mais à tous ces délaissés il est une bonne nouvelle; qu’ils ont un Père dans les cieux, qui les aime et prend soin d’eux. Car en chacun de ses enfants, Dieu voit une grande destinée.

Un sentiment de prudence nous vient alors, nous rappelant que “l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison” [Matthieu 10 v.36]. Il est question ici d’une mère contre sa propre fille. En qui avoir confiance, lorsque même père, mère, frère, soeur, n’hésitent pas à nos jeter dans la fosse aux lions? Mieux vaut alors se confier en l’Eternel auprès de qui il n’y a point de déception ni de tristesse.
Christ nous le dit : “Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant; les enfants se soulèveront contre leurs parents, et les feront mourir.” [Matthieu 10 v.21] Le chaos de la haine touche en premier lieu les familles. Alors nul ne peut aimer père, mère, frère et soeur plus que Dieu, car ces derniers peuvent nous détruire, nous décevoir, et même nous tuer. Or en l’Eternel seul est notre refuge.

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La Rédaction

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