Sevran : Un policier et un bachelier frôlent la mort la nuit du 14 juillet

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

Un policier à terre, ensanglanté, le casque fracassé; sans ce dernier, « il serait mort ». Un jeune bachelier de 18 ans, frôlant la mort suite à trois balles dans le corps. Placé dans un coma artificiel pour supporter la douleur, son père affirma qu’il a beaucoup saigné, touché au poumon, à la rate, et à l’intestin. Mais que s’est-il donc passé à Sevran ? Une ville de la région de Seine-Saint-Denis, malheureusement connue pour sa violence.

Que penserez-vous alors si l’on vous annonce que, selon des témoins, le jeune homme hospitalisé dans une situation dite « instable », originaire du quartier des Beaubottes, n’était point mêlé à l’agression des patrouilles de police en moto ?
Voici les faits. Après la clôture par un feu d’artifice d’une belle soirée de fête Nationale, la nuit du 14 juillet éclate un conflit d’une grande violence. Des jeunes cagoulés décidèrent de s’en prendre à des policiers en moto, venus prêter main forte à leurs collègues tentant de maîtriser un container volontairement enflammé.

« Jets de pierres, coups de barres de fer… L’équipage appelle du renfort. Six motards d’une compagnie de sécurisation et d’intervention se dirigent vers les lieux. Sur leur trajet, ils sont à leur tour pris à partie par «une cinquantaine d’individus au visage dissimulés», toujours selon le parquet, qui ajoute que les assaillants sont «armés de barres de fer, de blocs de pierre et de bouteilles en verre». Ce «guet-apens» se produit au niveau de la maison de quartier Edmond Michelet, au cœur du quartier Pont-Blanc. », rapporte Libération.

Les motards de la police décident de prendre la fuite lorsqu’ils s’aperçoivent plus loin de l’absence d’un de leurs collègues. De retour sur leurs pas, ils le retrouvent au sol, encerclé. Trois grenades de désencerclement sont lancées, pour éparpiller la foule et récupérer le camarade au sol. Qui pour se défendre, vida son chargeur sur ses jeunes agresseurs. Cependant, celui qui tomba fut encore une fois, un innocent. Toujours hospitalisé dans un état jugé instable, tandis que le policier, certainement traumatisé sortit de l’hôpital.

Le calme a repris son cours à Sevran mais les blessures entre forces de l’ordre, riverains et une jeunesse rebelle ne cesse de s’ouvrir.
« Le quartier a déjà eu quelques soucis, mais il n’est pas dangereux, ce n’est pas Chicago ! », s’offusque l’adjoint du maire. Nous sommes loin en effet d’un conflit à l’américaine. Toutefois il va sans dire que certaines banlieues de France s’en rapprochent sévèrement, notamment grâce au trafic d’armes toujours plus accessible. Et la volonté de faire la loi, face à une police démontrant des faits d’impartialité, d’injustice, et également de violences injustifiées au quotidien.

« Si l'Eternel ne bâtit la maison, Ceux qui la bâtissent travaillent en vain; Si l'Eternel ne garde la ville, Celui qui la garde veille en vain. » [Psaume 127 v.1]

Que faire lorsque nos villes ne peuvent compter sur la sécurité policière et autre? Autant le dire, la véritable sécurité, les témoignages le confirment, vient bel et bien du Très-Haut.
Qui de mieux que l’Eternel peux veiller sur sa propre créature ? Faut-il encore que cette dernière reconnaisse le Père Éternel. Qui dans sa grande bonté et selon sa volonté, intervient pour rétablir son ordre, sa protection, et permettre à tous encore inconscients, de se tourner vers lui et connaître les glorieux mystères, l’espérance et la grâce attachée à son appel.

« J'exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté. Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité » [1 Timothée 2 v.1-3].

Afin de rétablir la paix, la sérénité et la prospérité dans notre beau pays, la responsabilité d’un tel challenge demeure inconditionnellement sur les épaules des enfants de Dieu. Choisis et mis à part pour le bien du monde, tels des héros discrets de la foi. Pour faire luire sa lumière, sa vérité, dans les ténèbres. Vous sentez-vous concernés? Alors, sentinelles de l’Eternel, l’heure est à la prière, sans se décourager. Afin que daignent éclater la présence et l’excellence de Dieu sur notre jeunesse en colère, blessée, abandonnée et sans repère. Puis, que le l’Eternel Dieu dans sa miséricorde, fasse descendre son règne sur nos nations, afin que nombreux trouvent ou retrouvent la voie du salut en Jésus-Christ, avant son grand retour.

Prenons courage et invoquons le règne de Dieu dans nos foyers ! Partagez !

Wissa KOLOLO

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