Kurdistan : une civilisation vieille de 4000 ans émerveille les scientifiques

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

Les civilisations anciennes, vestiges d’un passé et de ses codes, pourtant socle de notre société actuelle, témoignent de l’éternelle grandeur du divin. Qui élève ou terrasse, noue ou dénoue, relève ou à contrario rabaisse, créé et laisse s’effacer des peuples et leurs histoires, au fil du temps. Tiraillée entre violences, quêtes, conquêtes et progrès, l’histoire des peuples se dessine continuellement sous les yeux des vivants et du Divin Père.
Merveilleux est-il lorsque nous découvrons alors des riches vestiges d’un autre siècle.
Un retour vers le passé. Une prise de conscience soudaine, nous rappelant l’infinitude de ce monde, notre fragilité face aux événements qui impactent le cours de notre existence, pour conduire des civilisations à leur extinction.

« Eternel, qu'est-ce que l'homme, pour que tu le connaisses? Le fils de l'homme, pour que tu prennes garde à lui? L'homme est semblable à un souffle, Ses jours sont comme l'ombre qui passe » [Psaume 144 v.3-4]

Au bord d’une rivière découlant du tigre, nommée le Grand Zab, fut découverte la ville de Xarab-I Kilashin, vieille de 4000 ans. En Mésopotamie dans le Kurdistan. Du moins, ses restes, car la zone est malmenée par des attaques de profanation de l’Etat Islamique. Pourquoi tant d’engouement? Sa taille, 300 mètres de diamètre. Une rareté datant du Moyen Âge. Les villes effacées datant de la même ère, n’avaient en effet pas une aussi grande superficie.

«Toutes les précédentes découvertes font état de petites surfaces n'excédant pas un hectare. Ce ne sont généralement que de simples villages», déclare à IBTimes UK, Rafal Kolinski, un chercheur de l’université polonaise Adam Mickiewicz.
Les recherches des archéologues ont révélé davantage de secrets enfouis. Selon leurs trouvailles et études, la ville semblait être une réelle plateforme économique, en sus d’être attractive et administrative. « Plus de 12.000 pièces comme de la poterie et des tampons décoratifs ont été retrouvées grâce à la mission des archéologues. Ces artefacts ont permis aux scientifiques de connaître les industries principales mises en place à l’époque. Ils supposent que Xarab-I Kilashin était une ville administrative permettant à un seigneur de diriger son peuple dans le croissant fertile. Mais l'émergence du peuple assyrien en 2000 avant J-C a rapidement mené la cité au déclin. »

« Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. » [Matthieu 24 v.35]

En effet, le cycle de la vie reprend son cours, une civilisation éteint une autre. Laissant place à une nouvelle histoire, qui à son tour s’éteindra. Et paraîtra à l’oreille telle une rumeur lointaine de son existence.
Cependant dans ce cycle tragique de la vie où rien ne reste et perdure véritablement dans le temps, si ce n’est des valeurs traditionnelles ; la parole de Dieu, fait exception. Elle demeure à toujours. La parole se fit chair, venue s’inscrire dans le cœur des Hommes, pour être retranscrite par écrit, au moyen de la mémoire, des témoignages et de l’esprit de Dieu qui révèle les mystères du Père aux Hommes qui le désirent.

Ce monde regorge de trésors inexplorés. Des civilisations ayant hélas, laissé qu’une simple emprunte dans l'histoire du monde. Que nous, les scientifiques découvrons au compte goutte. Des vies de vaillants héros ignorés, des témoignages d'hommes et de femmes marquant leurs temps dissipés telle une vapeur. Qu’est donc la vie de l’Homme? Si Dieu, l'Eternel ne vient y donner un sens. Aujourd'hui nous sommes, demain nous disparaîtrons. Par un peuple envahisseur voulant assiéger les régions et imposer ses doctrines. Ou pire encore, une catastrophe naturelle, épidémique ou nucléaire, les pires scénarios sont de mise et tout à fait possibles, dans cette fin des temps, précipitée.
Ainsi, que reste-t-il à l’Homme si ce n’est son âme, car tout peut lui être ravi en instant. Il est bon pour les Hommes de revoir leur considération à l’égard du Puissant. Car, il viendra un temps où nul ne pourra se trouver un abri pour échapper à la ferveur de la terreur, frappant à nos portes. À ce moment-là, nous n’aurons que nos yeux, tournés vers le ciel.

Dieu existe et se laisse trouver par celui qui le cherche. Partagez !

Wissa Kololo

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