Ils usurpent l’identité d’un cadavre et perçoivent ses allocations

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

En pleine crise économique, les aides de l’Etat ne suffisent guère. Chacun tente de maintenir la tête hors de l’eau. Pendant que les uns se démènent à la tâche, d’autres optent plus pour la tromperie et l’escroquerie pour arriver à leurs fins.
C’est le cas de ces deux hommes, qui n’ont pas hésité un instant à profiter des prestations sociales mensuelles d’une personne décédée. Les faits se sont déroulés à Marseille. En décembre 2015, un squelette fut découvert. Les analyses ADN l’identifièrent comme étant celui d’un prénommé Kamel Semghouni. Née à Roubaix en 1971, la victime était connue des services de police pour vol. Sa disparition daterait de 2013. La cause du décès n’ayant pas été identifiée, le squelette ne présentait cependant aucune marque de violence ni d’empoisonnement. Il fut découvert par deux ouvriers qui creusaient un sous-sol. Selon les enquêteurs, la mort serait survenue au cours de ces dix dernières années.

Les deux hommes coupables de fraude, côtoyaient le même foyer que la victime. Agé de 42 ans, l’un des suspects aurait usurpé l’identité du disparu, afin de ne point éveiller le moindre soupçon. Alors que personne n’était alarmé par la disparition de la victime, ces truands profitaient des prestations sociales du défunt. Ayant à portée de main la carte bleue de Kamel Semghouni, ils ne manquaient pas de faire des retraits réguliers sur son compte bancaire. Grâce à quelques surveillances téléphoniques, le mardi 24 janvier 2017, ils furent interpellés. Tandis que l’un fut mis en examen et placé sous contrôle judiciaire, l’autre fut écroué de suite.

La fin justifie-t-elle les moyens ?

Un acte déplorable qui note à quel point l’être humain se penche facilement vers la tromperie, le mensonge, toute sorte de mal pour obtenir ce qu’il désire. Malgré les lois régies, sa nature pécheresse prime. A tel point que le mal est collé à sa peau, le poussant à braver les interdits. Guidés par l’orgueil, la notion même du mal est inexistante, pour certains. Une ignorance, qui malheureusement, conduit à la mort.
Mais sachons ceci, la vie ne nous fait certes aucun cadeau, mais le mal n’est point une solution; peu importe les multiples raisons. Nous avons toujours la possibilité de choisir, et la Bible nous le conseille; choisir le bien, le chemin de la vie, Christ-Jésus. Car l’autre voie nous éloigne davantage de notre créateur et nous laisse indirectement être dirigés par satan.

Chers lecteurs, optons continuellement pour la justice, gardons en nous le principe fondamental que tout ce qui est bon provient de Dieu. Et laissons croître en nous une part de sa bonté. “Car il vaut mieux souffrir, si telle est la volonté de Dieu en faisant le bien que le mal” [1 Pierre 3 v.17]

La Rédaction

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