Donald Trump se retire de l’UNESCO qu’il juge contre Israël

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

La mésentente entre les Etats-Unis et l’UNESCO se détermine davantage. Le point d’accroche, la terre sainte d’Israël. Un point d’accroche si sensible que la toute puissante Amérique décida de se retirer de l’organisation internationale, à cause d’un énième désaccord.
Cela n’est plus un scoop, les Etats-Unis, grand allié d’Israël, la défendent corps et âme depuis bien des années. Fondée sur les évangiles, la nation américaine tente-elle de s’assurer bénédiction en respectant ces paroles de l’Éternel faisant allusion au peuple d’Israël ?
« Béni soit quiconque te bénira, Et maudit soit quiconque te maudira ! » [Nombres 24 v.9].
Il est un fait avéré, les Etats-Unis prêtent une attention particulière au bien-être d’Israël. De ce fait, tout ce qui semble de près ou de loin jouer en sa défaveur est perçu tel un affront pour les Etats-Unis. Pourtant, Barack Obama, le président des compromis tenta l’impossible en cherchant à rétablir une paix entre Israël et la Palestine. Quitte à se mettre dos le Premier ministre Israélien, Benjamin Netanyaou, lorsqu’il demanda que la Palestine soit reconnue comme étant un État Indépendant et souverain.

Son successeur, lui, s’avère moins négociateur, et n’y va pas de main morte pour démontrer son affection à Israël. Saviez-vous qu’en 2011, les Etats-Unis avaient décidé de prendre une mesure significative pour exprimer leur volonté de s’écarter de l’organisation ? Plus précisément, après l’entrée de la Palestine parmi les 58 États membres, les USA interrompirent leur participation au financement de l’UNESCO. Cette fois, le coup de la position américaine à l’égard de l’UNESCO est sans équivoque.
En effet, ce jeudi 12 octobre, le président controversé Donald Trump, vient d’annoncer la sortie de sa patrie, de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO). Pour cause, le président aurait entre autres accusé l’organisation d’être anti-israélienne. Cependant le département d’État aurait signifié maintenir une présence américaine dans le sillage de l’Organisation en tant qu’Observateur afin d’apporter la vision et l’expertise américaine sur des dossiers sensibles tels que la défense de la liberté de la presse, la promotion des sciences et de l’éducation, et la protection du patrimoine mondial. Leur retrait de l’UNESCO sera effectif le 31 décembre 2018.

Cette décision n’a pas été prise à la légère, et reflète les inquiétudes des Etats-Unis concernant l’accumulation des arriérés à l’Unesco, la nécessité d’une réforme en profondeur de l’organisation, et ses partis pris anti-israéliens persistants.

 

La dernière étincelle ayant déclenché la flamme est le choix de l’UNESCO de déclarer comme Zone protégée du patrimoine mondial, la vieille ville d’Hébron située en Cisjordanie occupée. Un blasphème si l’on en croit les propos de l’ambassadrice américaine à l’ONU, Nikky Haley. Celle-ci qualifia cette distinction d’« affront à l’histoire » discréditant davantage l’agence onusienne « déjà hautement discutable ».
Alors que s’accumulent les messages de regret des hautes autorités, membres de l’organisation, la France, également bonne alliée des Etats-Unis, si l’on considère la complicité naissante entre le président Macron et Donald Trump, fit part de sa tristesse. Du moins de son agacement car cette séparation ne tombe à point nommé, vu la conjoncture actuelle. D’autant plus que l’organisation a besoin de soutien efficace.
Par contre, se félicite de cette décision américaine, Israël, qui déclara fièrement que toute forme de discrimination à son égard inclut un prix fort à payer. Des propos provocateurs mais lourds de sens au regard de son histoire.
Une courte rétrospective évangélique s’impose. Alors que régnaient de multiples divinités sur le sol d’Israël au temps de l’Ancien Testament, un homme parmi le peuple attira le regard de Dieu ; on le nomme Père de la foi, Abraham. Bien qu’entouré de faux dieux, Abraham était convaincu de la présence d’un Dieu unique et souverain, qui ne tarda à se manifester, lui annonçant une longue et périlleuse route, où sa foi fut mise à l’épreuve. Sa ténacité lui valut des bénédictions incommensurables, de son vivant et après sa mort. Telle qu’une descendance par multitude, puissante et bénie [Genèse 17 v.4] [Genèse 22 v.17]. Promesses de Dieu obligent, ses bénédictions ayant transcendé les âges, s’avèrent effectives encore à ce jour pour l’actuelle patrie Israélienne. Grâce à son histoire intimiste avec Dieu, elle fonde sa renommée et assoit sa distinction de peuple élu.

« En effet, ce n'est pas par la loi que l'héritage du monde a été promis à Abraham ou à sa postérité, c'est par la justice de la foi » [Romain 4 v.13]

Toutefois, rassurez-vous, le plan de Dieu parfait pour les nations, inclut non seulement le peuple d’Israël mais en réalité, toute âme qui se tourne vers Lui, à l’instar d’Abraham. Cette fois, en acceptant le réconciliateur entre les Hommes et Dieu, Jésus-Christ. Ainsi, toutes les nations n’ont de soutien et de secours réels qu’en Dieu, et non, en de simples organisations. Ce que semble avoir compris le président Américain, chrétien et fier de l’être, qui jouit également des fruits d’une histoire profonde entre Dieu et le peuple américain, première puissance mondiale, malgré sa politique controversée.

Nous ne connaissons les retombées du retrait américain de l’UNESCO, cependant nous prions que cela fusse le fruit d’une concertation avec… Dieu. « Car l'Eternel donne la sagesse; De sa bouche sortent la connaissance et l’intelligence » [Proverbes 2 v.6]. Il est indiscutable que les interventions de l’UNESCO dans le monde, sont à ce jour fortement critiquées. Et l’organisation semble d’ailleurs avoir perdu sa raison d’être, par ses prises de position à de multiples missions.
Chers lecteurs, nous assistons une nouvelle fois à la confirmation des écritures saintes. Aussi puissante qu’elle soit, sans le pouvoir et la sagesse accordée par le Seigneur, toute organisation, malgré son envergure, ne peut avoir de réels succès dans ses entreprises, ses activités.
La paix, la stabilité et la prospérité d’une nation ne sont possibles qu’en Dieu et par le règne de son fils Jésus-Christ, seul à pouvoir faire disposer des valeurs nécessaires pour des politiques justes, fortes et efficaces.
Ensemble, prions pour Israël et pour le salut de tous les peuples.

Wissa KOLOLO

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