Une exhortation écrite par Yannick NILA

Mais où donc se limite la folie du dirigeant de la Corée du Nord? Un semblant de préparation de guerre plutôt bien maitrisée s’annonce, et ce, de son propre chef.
Cependant, il est plus approprié à ce stade de parler de provocation, que de menace de guerre. En effet, les incessantes provocations du tyrannique Kim Jong-Un; visant à défier la suprématie de la communauté internationale, commence sérieusement à taper sur les nerfs de ses homologues, Japonais, Américains, etc.

« Le tir inacceptable d’un missile au-dessus de notre pays représente une menace grave et sans précédent et nuit considérablement à la paix et la sécurité de la région. Nous devons immédiatement tenir une réunion d’urgence aux Nations Unies et augmenter la pression sur la Corée du Nord. Le lancement d'un missile au-dessus de notre territoire sans avertissement est une action extrêmement dangereuse. Les risques pour la sécurité de notre pays ont considérablement augmenté », communiqua le Premier ministre Japonais, Shinzo Abe.

En effet, en plus de s’être ouvertement moquée de l’interdiction d’effectuer des tests nucléaires, Pyongyang, la capitale de la Corée du Nord, tira un énième missile en direction de la mer du Japon. Alors qu’un précédent frôla de dix minutes un avion d’air France il y a quelques semaines, ce dernier survola la ville du Japon pour s’échouer en mer japonaise. Bien qu’elle fut sans risque, et ne nécessita pas une riposte de l’armée japonaise, sa traversée au-dessus de l’île d’Hokkaido demeure une entrave et un danger énorme pour la sécurité du pays. D’ailleurs, l’île et les départements environnants reçurent un message les incitant à se mettre à l’abri sous terre ou dans des bâtisses solides.

Les Etats-Unis, la Corée du Sud et le Japon promettent une riposte militaire

Kim Jong-Un, un enfant gâté qui prend le monde pour un terrain de jeu ? Un homme résolu à croire que le monde est contre lui ? Ou un illuminé refusant de se soumettre au joug de la communauté internationale ? Qui d’ailleurs se retrouve controversée par ses actions en faveur de quelques puissances ? Kim Jong-Un joue-t-il à la loi du plus fort ? En effet, ce missile survolant le Japon fait suite à trois missiles de courte portée, lancés il y a trois jours. En voici les raisons.

Donald Trump, président des Etats-Unis, aussi caractéristique que son adversaire Coréen, est, depuis son investiture, en plein bras de fer avec ce dernier. Dernièrement, le dirigeant nord-coréen menaça de détruire par missile la base militaire américaine et la base navale Apra Harbor situées sur l’île de Guam. La riposte du président américain ne se fit attendre. Il assura une riposte « jamais vue » sur son sol. Kim Jong-Un décide de se calmer, du moins, tant que l’Amérique ne l’offense d’une quelconque manière. Un temps de répit de courte durée suite au démarrage des exercices militaires annuels s’étalant sur 10 jours. Ce programme unit les soldats Sud-Coréens et Américains, dans un exercice annuel portant le nom d’Ulchi Freedom Guardian. Un programme scellant le lien des peuples alliés, que la Corée du Nord voit d’un très mauvais œil. Le pays affirmerait que ce programme n’est rien d’autre qu’une répétition en vue d’une entrée en guerre.

« Indépendamment de l'endroit où a été lancé le missile — vers l'est ou vers l'ouest, le survol de notre territoire, qui plus est sans avertissement, représente un sérieux danger pour nos navires et avions. Nous estimons qu'il est nécessaire d'exercer davantage de pression sur la Corée du Nord, ainsi que d'adopter une position plus intransigeante au Conseil de sécurité. La portée du missile avoisine les 5.000 km. Bien sûr, un missile de ce type pouvait atteindre Guam »

Durcir la pression à l’égard de la Corée du nord, pour la pousser dans ses retranchements et le changement de sa politique. Une décision qui résulte d’une communication entre Tokyo et les États-Unis. Les deux pays exigent par ailleurs un rassemblement d’urgence du Conseil de sécurité des Nations-Unies.
Par sa résistance et ses actions transgressantes, le président nord-coréen veut démontrer son insoumission. Créer un vent de terreur quitte à instaurer un climat de guerre. Ou mener par le bout du nez toutes les nations le contraignant à cette issue fatale. Mais ses œuvres maladroites ne sont-elles pas justifiées ? Est-ce donc sa façon de réclamer sa liberté ? Une liberté qui hélas, donnerait libre court à ses folies, comme l’affirment les grandes puissances. Kim Jong-Un, tout comme Vladimir Poutine, se refuse-t-il à obéir à une manigance de grande échelle plus salace encore, des pays s’octroyant le rôle de gardiens du monde ?

Hélas, quand les peuples sont en conflit, Dieu demeure souverain. Il assure, par grâce, la pérennité des peuples, même plongés dans les ténèbres, assoiffées de pouvoir et de domination.
Que deviennent donc les principes divins, qui prônent le règne par l’unité et l’amour ? Bannis par les Hommes de vices, assujettis aux mensonges du malin.
Que faire donc si ce n’est d’invoquer le règne de Dieu sur toute la terre ? Car si la menace ne vient de l’intérieur, elle provient donc des nations voisines. Seul le recours à Dieu est la solution pour éviter ou ralentir ce qui semble une évidence, l’entrée en guerre des nations. Car la Bible nous l’informe, le retour du Christ se fera après de grands troubles.
« […] Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs. » [Matthieu 24 v.7]
Devons-nous donc demeurer dans la crainte de mourir, ou plutôt de perdre notre âme dans la géhenne ? Chers lecteurs, ces temps de la fin doivent résonner en nous et nos foyers, tel un signal pour renouer avec le Père, notre Dieu. L’existence de ce monde arrivant à sa fin, prenons soin de nous assurer une vie éternelle dans son royaume.

Comme l’apôtre Paul le recommande ; prions pour les autorités élevées en dignité, car en dépend notre paix [1 Timothée 2 v.2].

Wissa KOLOLO

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